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. » La place me manque pour parler comme j’aurais
voulu
le faire des deux autres parties du volume, d’une importance moins ac
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t bien connaître la nature et ses abîmes, si l’on
veut
être à même d’y voir les touches du surnaturel. Si les scandales du t
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onstant, ce serait bien court… Et Nietzsche ? Qui
voudrait
de ce Zarathoustra dont on vendit, lorsqu’il parut, 15 exemplaires ?
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, la culture, et en particulier la littérature, a
voulu
se séparer des intérêts fondamentaux de la nation. Ce phénomène est a
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es situées dans un grand monde de cinéma. Comment
veut
-on qu’il en soit autrement, quand Proust, Gide ou Valéry ne paraissen
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u romantisme allemand qu’il faut remonter si l’on
veut
étudier la source véritable de préoccupations qui parurent fort nouve
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ancrés dans nos esprits, notamment le préjugé qui
veut
que les romantiques allemands n’aient été que de « doux rêveurs », al
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ses partisans accusent Willkie de jouer — sans le
vouloir
— le jeu des totalitaires. Mais Willkie réplique que c’est Roosevelt
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tique joue-t-elle un rôle plus important qu’on ne
veut
bien le dire, ou qu’on ne veut bien se l’avouer ici dans le choix qu’
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important qu’on ne veut bien le dire, ou qu’on ne
veut
bien se l’avouer ici dans le choix qu’est en train de faire le corps
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vente un bouton-insigne portant la devise : « Je
voudrais
, moi aussi, être nommé capitaine. » La mode des boutons à slogans fai
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— il ne s’en faut que d’un atome… » ⁂ Le hasard a
voulu
que, le soir même, je me visse entraîné à Cointrin, où se posait dans
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ne sommes pas impatients, mais angoissés. Nous ne
voulons
pas qu’on aille vite par doctrine, par manie ou par tempérament, comm
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ou toit, chacun peut voir que M. Bevin n’a jamais
voulu
rien commencer. Au reste, l’Europe existe depuis plus de 2000 ans. Ce
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e à perdre. Tout est prématuré, pour celui qui ne
veut
rien. Chi va piano perd la Corée. La prudence est le vice des timide
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pas dans les subtilités. Elle vous demande « Que
voulez
-vous faire ? » Si vous ne voulez pas fédérer l’Europe, vous ne voulez
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us demande « Que voulez-vous faire ? » Si vous ne
voulez
pas fédérer l’Europe, vous ne voulez rien qui l’intéresse. Si vous ne
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» Si vous ne voulez pas fédérer l’Europe, vous ne
voulez
rien qui l’intéresse. Si vous ne faites rien cet été, vous serez oubl
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nser que ce n’est pas suffisant.) Aujourd’hui, je
voudrais
vous dire l’admiration et le respect que j’éprouve, non point hélas !
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ertes, et les calibres différents : tout le monde
voudrait
leur unification. Et quant aux lois pénales et aux systèmes fiscaux,
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est par décision d’un État étranger qu’ils disent
vouloir
garder la souveraineté du leur ?) Messieurs les députés, ce serait pu
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is elle ne sera pas. C’est clair. Seuls, ceux qui
veulent
passionnément le But se résoudront aux compromis vitaux. Quant à ceux
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obstacle, c’est eux-mêmes. Ils nous disent : « Je
veux
bien, je ne suis pas contre, mais voyez ces difficultés ! L’Opinion,
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t pas plus pour fédérer la Suisse. Mais l’opinion
veut
qu’on l’entraîne. « On suit ceux qui marchent », dit Péguy. Elle ne v
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t la radio déclarent qu’elle est. Presse et radio
voudraient
que Dewey soit élu : on dit alors qu’il a pour lui toute l’opinion. T
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e passion, je m’écriais l’autre jour : si vous ne
voulez
rien faire, allez-vous-en ! Mais beaucoup d’entre vous veulent agir,
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faire, allez-vous-en ! Mais beaucoup d’entre vous
veulent
agir, et je les supplie maintenant, au nom de l’Europe, de rester au
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armée du monde ne pourra la défendre. Personne ne
veut
mourir, que pour des raisons de vivre. Mozart n’en est plus une pour
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e révèlent contraires au salut de l’ensemble ? Je
veux
avoir parlé pour ne rien dire, si quelqu’un nous propose une autre so
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les députés européens, je vous salue d’un vœu qui
voudrait
résumer celui de tous nos peuples aux écoutes de l’avenir, un vœu mêl
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le fois, et montrez ensuite vos jambes à qui vous
voudrez
». À ses amis de Paris : « On fabrique ici beaucoup mieux qu’à Genève
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’écris pas pour mettre ma conscience à l’aise. Je
veux
certes la mettre à l’aise, et tout homme doit le vouloir avant tout,
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certes la mettre à l’aise, et tout homme doit le
vouloir
avant tout, mais ce n’est pas un article qui pourrait y suffire, il f
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euple mystique, à la misère du siècle. Il n’a pas
voulu
rester seul. Quelques-uns des plus grands l’ont osé. Pascal et Kierke
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Amérique parle aux Français ». Mais la caricature
veut
ces déformations, si la critique honnête les réprouve. Tout autre cho
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plutôt, il faudrait l’acquitter, et peut-être le
voudriez
-vous mais je sais bien que vous n’avez pas le droit formel. Dans ces
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cières. J’espère, Monsieur le président, que vous
voudrez
bien excuser la liberté que je prends en m’adressant à vous si franch
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essant à vous si franchement et longuement. Je ne
voulais
être qu’un témoin de moralité, et je n’ai pu m’empêcher de vous faire
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es réflexions sur ce cas de conscience difficile.
Veuillez
être assuré, Monsieur le président, de mes sentiments les plus distin
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s ne pouvons le suivre dans ce “tout ou rien” qui
voudrait
qu’à défaut d’un statut des objecteurs de conscience, la Suisse ne se
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foule par-dessus la tête du président. Si j’avais
voulu
traiter publiquement de l’objection de conscience en général, et des
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n de poser dans ses termes les plus authentiques.
Veuillez
croire, Monsieur le rédacteur en chef, à mes sentiments dévoués. ae
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absurde. Il me fait penser à ces grands-pères qui
veulent
se rendre populaires auprès de leurs petits enfants en leur conseilla
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ituelle ? Je n’en sais rien. Je sais vers quoi je
voudrais
qu’on aille. Le progrès est l’augmentation des risques humains, c’est
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nvahis par les machines. » Je leur réponds : « Je
voudrais
bien qu’une Rolls-Royce ou même une VW vienne m’envahir dans la cour
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ités. Mais encore faut-il sentir l’époque si l’on
veut
essayer de l’influencer : et c’est à cela que l’art peut nous aider.
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scrit au portique de cette Constitution ? Cela ne
veut
absolument rien dire. C’est une couverture pour quelque chose dont le
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erchait la condamnation. Christian Schaller. — Je
voudrais
répondre également au grand juge Vaucher que le tribunal apprécie les
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puisque les lois changent. Colonel Vaucher. — Je
voudrais
répondre encore à M. de Rougemont que l’appréciation des mobiles joue
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us représentons le peuple, et si le peuple suisse
veut
déférer le jugement de certaines causes à d’autres instances, eh bien
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bjecteur de conscience. Il juge le citoyen qui ne
veut
pas servir — parce qu’il est objecteur. Ce n’est pas la même chose. C
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uelqu’un qui trouve que l’armée est mal faite. Il
veut
manifester contre la guerre. C’est un problème formidable qui est pos
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ns. Ce que l’objecteur nous explique mal quand il
veut
lutter contre la guerre, en Suisse, c’est qu’il s’attaque en même tem
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uis un officier de métier, un technicien, si vous
voulez
, qui fait des additions et des soustractions pour savoir si notre déf
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ombe atomique intervienne dans les combats. Je ne
veux
pas faire ici de la tactique. Je suis persuadé que l’État ne peut pas
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ue, la justification morale du service militaire,
voulu
par le peuple, et accepter d’instaurer un service civil. Numériquemen
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ma conviction intime, à moi militaire ! Mais que
voulons
-nous faire ? défendre notre pays, c’est tout. Le général Guisan l’a m
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en Suisse. Pour quelle raison en Suisse ? Nous ne
voulons
de mal à personne, sinon défendre ce que nous avons reçu. » Colonel V
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tés. Il n’y a pas mutation, mais maturation. J’ai
voulu
faireal, par des exemples tirés de romans contemporains (Nabokov, Mus
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uis le Centre européen de la culture tel que vous
vouliez
le faire à votre retour d’Amérique en Europe en 1946 ? Je suis un écr
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côtés négatifs. Il ne s’agit nullement — comme on
voudrait
nous le faire croire dans certains milieux — d’être pour ou contre, d
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faire façon d’elle. Ce qui me choque c’est qu’on
veut
absolument la charger de tous les péchés du monde. Il faut revenir à
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de Rougemont : Cela personne ne l’a dit. Mais je
voudrais
reprendre mon propos initial. En moins de cinquante ans la voiture es
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e très actuel de l’initiative Franz Weber : on ne
veut
pas reconnaître les pouvoirs constitutionnellement accordés à un gouv
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conçu pour ce genre de trafic mais, lorsque l’on
veut
construire des routes de contournement, qui sont d’un degré de sécuri
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echerche scientifique, arts et santé publique. Je
veux
bien qu’il mentionne Paris et non pas Genève où les choses se déroule
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e, sociale ou politique sur la voiture — qu’on le
veuille
ou non — n’est-elle pas neutralisée par cette réalité économique ? Fr
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nt clairement leurs raisons, à savoir qu’elles ne
voulaient
pas servir la publicité d’un régime scandaleux, la guerre n’aurait pa
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s rebiffé avec virulence en déclarant « Quoi ! On
veut
m’arracher mon drapeau, on en veut à l’honneur de mon pays ! » Quand
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nt « Quoi ! On veut m’arracher mon drapeau, on en
veut
à l’honneur de mon pays ! » Quand on en arrive là, je crois qu’il n’e
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léry, compagnons de mes mises en train. Le sort a
voulu
que je n’arrive à lire qu’un seul des « livres d’amis » : le Poisson-