1 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Paul Valéry et l’Europe (29 octobre 1971)
1 éry voit très bien, c’est que la politique de nos États-nations , qui refusent toute espèce d’union sous le prétexte de leur « souvera
2 1974, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). La révolte des régions : l’État-nation contre l’Europe (mars 1974)
2 ies, des nations ou des États, bref, l’Europe des États-nations , on ne la fera jamais : c’est un cercle carré. La réunion de Washingt
3 mes yeux parfaitement superflue. Cette Europe des États-nations , je l’ai baptisée depuis longtemps l’amicale des misanthropes. Cela p
4 nne. Une Europe fédérale, au-dessus du niveau des États-nations , suppose, appelle et implique des régions au-dessous de ce niveau. Tr
5 pour animer la vie civique de leurs régions, les États-nations sont condamnés par toute l’évolution du monde moderne. Le général de
6 subordonnées : fonction militaire dans le cas des États-nations , linguistique dans le cas des ethnies, économique dans le cas des « r
7 r. Si l’Europe devait consister en une centaine d’ États-nations en réduction, je serais contre, intégralement. Les régions ne seront
8 ntégralement. Les régions ne seront pas de petits États-nations , ajoutant à l’absurdité de frontières communes imposées à des réalité
3 1979, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Le fédéralisme helvétique dans l’Europe d’aujourd’hui (24-25 juin 1979)
9 cune raison pour qu’une Europe fédérale fasse aux États-nations ce que ceux-ci ont fait à leurs provinces, mais on ne voit que trop b
4 1982, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’amour, les régions et l’Occident (20 août 1982)
10 pports arabes et slaves, contre l’anti-Europe des États-nations , une seule solution : le fédéralisme, l’union dans la diversité, et m
11 on, le mot d’ordre a été de tout centraliser. Nos États-nations renfermés dans le carcan de leurs frontières n’ont plus d’autre mode