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éry voit très bien, c’est que la politique de nos
États-nations
, qui refusent toute espèce d’union sous le prétexte de leur « souvera
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ies, des nations ou des États, bref, l’Europe des
États-nations
, on ne la fera jamais : c’est un cercle carré. La réunion de Washingt
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mes yeux parfaitement superflue. Cette Europe des
États-nations
, je l’ai baptisée depuis longtemps l’amicale des misanthropes. Cela p
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nne. Une Europe fédérale, au-dessus du niveau des
États-nations
, suppose, appelle et implique des régions au-dessous de ce niveau. Tr
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pour animer la vie civique de leurs régions, les
États-nations
sont condamnés par toute l’évolution du monde moderne. Le général de
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subordonnées : fonction militaire dans le cas des
États-nations
, linguistique dans le cas des ethnies, économique dans le cas des « r
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r. Si l’Europe devait consister en une centaine d’
États-nations
en réduction, je serais contre, intégralement. Les régions ne seront
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ntégralement. Les régions ne seront pas de petits
États-nations
, ajoutant à l’absurdité de frontières communes imposées à des réalité
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cune raison pour qu’une Europe fédérale fasse aux
États-nations
ce que ceux-ci ont fait à leurs provinces, mais on ne voit que trop b
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pports arabes et slaves, contre l’anti-Europe des
États-nations
, une seule solution : le fédéralisme, l’union dans la diversité, et m
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on, le mot d’ordre a été de tout centraliser. Nos
États-nations
renfermés dans le carcan de leurs frontières n’ont plus d’autre mode