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Quant aux perspectives du régionalisme dans notre
avenir
prochain, j’imagine quelques solutions qui d’ailleurs posent de nouve
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la tension nécessaire à son action. Choisir l’
avenir
… Avez-vous été amené à réviser votre livre eu égard à tous les cha
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e vous qui scrutez les signes avant-coureurs de l’
avenir
de l’Europe et du monde ! C’est qu’il faut partir de l’avenir si l’on
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Europe et du monde ! C’est qu’il faut partir de l’
avenir
si l’on veut comprendre l’aujourd’hui. La vocation (passion, mariage
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ion, mariage ou politique) ne peut venir que de l’
avenir
. Ce n’est jamais une voix du passé. Dieu, qu’est-ce, sinon le futur é
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ous appelle. Nous ne sommes pas là pour prédire l’
avenir
, mais pour le faire ! Je disais naguère dans une conférence en Amériq
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’homme se voit contraint de choisir librement son
avenir
. Et il y est contraint du seul fait qu’il en a, pour la première fois
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r des régions ? Cette tendance absurde de bâtir l’
avenir
sur un système médiéval… », déclare à son tour M. Michel Debré. Ceux
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t naître. La nature est toujours en avant, vers l’
avenir
. « L’environnement et la nature, c’est d’abord nous : du premier nous
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u’on ne voit pas », selon l’Épître aux Hébreux. L’
avenir
du personnalisme ? Eh bien, j’ose dire qu’il se confond désormais ave
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ien, j’ose dire qu’il se confond désormais avec l’
avenir
de la fédération européenne, ce qui signifie probablement avec l’aven
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n européenne, ce qui signifie probablement avec l’
avenir
de la paix. Mai 68 m’a fait l’effet d’une résurgence de nos problèmes
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imiste ou optimiste ? Si je vous réponds que « l’
avenir
est notre affaire », me trouverez-vous pessimiste ou optimiste ? En
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ement de la pensée et du penseur, je répète que l’
avenir
est l’affaire de chacun de nous, ici et maintenant. Mais le fait est