1 1950, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Pour un standard unique de la télévision (18 novembre 1950)
1 e les capitaux auront été investis dans chacun de ces pays, tout espoir d’une télévision qui puisse être diffusée dans tout
2 1954, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Visite à M. Denis de Rougemont, directeur du Centre européen de la culture (septembre 1954)
2 échanges intraeuropéens. Pourtant l’Unesco couvre ces domaines et vous parlez de nécessité… En voulant rester européen, not
3 1969, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Une longue et vieille histoire (7 juin 1969)
3 et, plus tard, Tess d’Urberville. À la faveur de ces excès contraires, la bourgeoisie de l’ère industrielle choisira de fo
4 ntendu qu’on ne doit parler ni de l’argent, ni de ces choses auxquelles pensent parfois les jeunes gens, Marx et Freud, au
4 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). La poussée régionaliste en Europe occidentale (avril 1971)
5 pays européens à poser le problème régional. Que ces motifs, selon les cas ou les pays, soient de nature ethnique ou écono
6 fédération ; trop grand, il appelle les régions. Ces deux tendances, loin de se contredire, se commandent mutuellement dan
7 politiques. Mais si l’on considère l’ensemble de ces « cas spéciaux », on voit se dégager deux classes de motifs principau
8 dans les pays de l’Est européen. Presque partout, ces ethnies brimées déclarent souffrir d’un sous-développement économique
9 l’écrit J.-F. Gravier. On voit tout de suite par ces exemples que les régions ethniques et les régions économiques ne saur
10 pose le problème très neuf de l’administration de ces régions variables… 2. Par les échanges entre régions, former les régi
5 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Paul Valéry et l’Europe (29 octobre 1971)
11 èveté décisive. Lisons les Ruines : Où sont-ils, ces remparts de Ninive, ces murs de Babylone, ces palais de Persépolis, c
12 es Ruines : Où sont-ils, ces remparts de Ninive, ces murs de Babylone, ces palais de Persépolis, ces temples de Baalbeck e
13 ls, ces remparts de Ninive, ces murs de Babylone, ces palais de Persépolis, ces temples de Baalbeck et de Jérusalem ? … Hél
14 , ces murs de Babylone, ces palais de Persépolis, ces temples de Baalbeck et de Jérusalem ? … Hélas ! je l’ai parcourue, ce
15 l’ai parcourue, cette terre ravagée ! J’ai visité ces lieux qui furent le théâtre de tant de splendeurs, et je n’ai vu qu’a
16 aient de beaux noms vagues, et la ruine totale de ces mondes avait aussi peu de signification pour nous que leur existence
6 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). « Le respect du réel, c’est le revers du paradoxe » (14 décembre 1972)
17 n violente qu’il me fallait vivre et penser. Tous ces noms sont français ; c’est pourtant vers les Allemagnes que vous part
18 t annote en arabe du xiie siècle. Tout cela dans ces années 1932 à 1936, qui voient triompher Hitler, Mussolini et Staline
19 ique impersonnelle et de la confidence. Pour moi, ces journaux de 1926 à 1946, et leur suite — le Journal d’un Européen — q
7 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Descartes inversé ou le zen occidental (14 décembre 1972)
20 ation d’une méthode réglant l’ordre et l’usage de ces moyens, la maîtrise d’une technique éprouvée, l’obéissance aux précep
21 tres fins plus hautes, et dans la seule mesure où ces moyens servent nécessairement ces fins. Car un moyen vu sans sa fin e
22 seule mesure où ces moyens servent nécessairement ces fins. Car un moyen vu sans sa fin est insensé, et ne saurait donc êtr
23 mbre 1972, p. 21. l. Présenté par cette note : «  Ces pages sont extraites du chapitre initial de la Morale du But, deuxièm
8 1974, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). La révolte des régions : l’État-nation contre l’Europe (mars 1974)
24 e des sacrifices humains, et les obtienne. Toutes ces déclarations traduisent une curieuse anxiété dans l’esprit des hommes
25 ut « réaliste ». Ceux qui l’ont crue possible sur ces bases sont morts sans l’avoir imposée : Schuman, Adenauer, De Gasperi
26 avoir imposée : Schuman, Adenauer, De Gasperi. Si ces hommes, qui avaient tout en main, n’ont rien pu faire, c’est vraiment
27 même en Suisse. Le danger majeur que représentent ces deux réactions « régionalistes » c’est de reproduire en plus petit ce
28 ttente spirituelle. Il s’agit de rendre un sens à ces mots de notre langue que vos calculs ont oubliés : communauté, amitié
9 1974, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Robert Aron : le témoin d’une génération passionnée (9 mars 1974)
29 nesse littéraire et politique. Je le revois, dans ces années décisives, où les ombres montaient à l’est, démesurées, devant
30 ne merveilleuse justesse. Mon seul regret est que ces deux amis n’aient pu siéger ensemble pour témoigner de la durée et de
10 1979, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Avez-vous lu Jérôme Deshusses ? (16 mars 1979)
31 s voici jetés. Publiés coup sur coup, séparément, ces sept pamphlets eussent provoqué autant de bagarres intellectuelles à
11 1979, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Le fédéralisme helvétique dans l’Europe d’aujourd’hui (24-25 juin 1979)
32 tyran au nom des droits locaux ; mais, à l’Ouest, ces grands commis emperruqués, serviteurs exemplaires de celui qui aurait
33 ent chacun un département fédéral (ou ministère). Ces ministres ne représentent pas les cantons et ne sont pas renversés pa
34 tagne et, dans une moindre mesure, de l’Espagne — ces trois prototypes de l’État national. Les pratiques fédérales ou fédér
35 dération ou confédération ». La distinction entre ces termes, inexistante dans l’expérience historique de la Suisse, ne cor
12 1982, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’amour, les régions et l’Occident (20 août 1982)
36 traductions et de préfaces nouvelles, au cours de ces trois dernières années, c’est-à-dire plus de quarante ans après la pr
37 ant pour une fédération de l’Europe des régions — ces régions tellement d’actualité aujourd’hui —, je suis absolument certa
38 les moyens les plus fabuleux de sa liberté ! Car ces lois, ces structures et ces prétendus impératifs mortels, c’est nous
39 s les plus fabuleux de sa liberté ! Car ces lois, ces structures et ces prétendus impératifs mortels, c’est nous les hommes
40 x de sa liberté ! Car ces lois, ces structures et ces prétendus impératifs mortels, c’est nous les hommes qui les avons cré