1 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). « Le respect du réel, c’est le revers du paradoxe » (14 décembre 1972)
1 J’ai raconté cela dans Le Paysan du Danube . L’ engagement et le clerc C’est votre œuvre la plus romantique. Vous y découvrez
2 é ! Je puis revendiquer la paternité du concept d’ engagement , mais certes pas l’usage qu’on en a fait au cours des dernières décen
3 personne , s’ouvrait par un chapitre intitulé « L’ engagement du clerc ». Mais, pour moi, l’écrivain engagé n’est pas celui qui s’e
4 xion est l’époque, mais conçue comme le lieu de l’ engagement personnel, le lieu existentiel. L’intime ne prend vie que dans une re
5 ne peut y avoir qu’une liaison. Mais quand il y a engagement réel et fidélité à cet engagement, alors la personne peut s’épanouir.
6 is quand il y a engagement réel et fidélité à cet engagement , alors la personne peut s’épanouir. Il n’y a mariage qu’entre personn
7 ait nécessaire de le réassumer, de renouveler mon engagement , ma responsabilité. Certes, le monde change et dans le domaine des mœ
8 ne, dignité à laquelle l’homme n’accède que par l’ engagement dans le monde — source et théâtre de sa vocation. La relation est réc
2 1982, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’amour, les régions et l’Occident (20 août 1982)
9 n 1939, il est né de la rencontre dramatique de l’ engagement et de la passion. Deux personnes qui s’engagent pour la vie, c’est le
10 a beaucoup emprunté mais rien rendu. La notion d’ engagement , par exemple, dérive du personnalisme, bien que le mot, dans l’existe
11 grand public serait dû à des formules comme : « L’ engagement de l’écrivain » et « l’homme à la fois libre et responsable ». Sartre
12 ser avec les mains , premier ouvrage consacré à l’ engagement de la pensée et du penseur, je répète que l’avenir est l’affaire de c