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t le meilleur standard. Mais nous affirmons qu’il
faut
absolument adopter un standard unique, tout au moins pour l’Europe. T
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qui, sur ce point, a été vraiment un prophète, il
faut
garder les yeux fixés à la fois bien en deçà et bien au-delà de la na
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nt à constater que si l’on veut faire l’Europe il
faut
ouvrir le cadre stato-national et dépasser ce modèle périmé. Tel est
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nner la petite Suisse à l’Europe et au monde ? Il
faudrait
parler de Dada, qui explose à Zurich au moment où Lénine s’y prépare
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du Soldat, inaugurant le « spectacle total ». Il
faudrait
parler de la musique, d’Arthur Honegger et de Frank Martin à Rolf Lie
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idental et refoulés par nos nationalismes qu’il a
fallu
l’esprit intrépide et sceptique de Valéry pour s’abstraire de l’Europ
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sane, qui réduit chacun d’eux à l’impuissance, il
faut
prévoir que nous préférerons aux sacrifices individuels raisonnables
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les contraires d’une opposition violente qu’il me
fallait
vivre et penser. Tous ces noms sont français ; c’est pourtant vers le
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lu ma première version, Paulhan m’écrivit : « Il
faut
choisir : ou bien vous exposez des idées, ou bien vous jouez du violo
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taché. La réalité est faite d’antinomies, dont il
faut
respecter chacun des termes en les maintenant en tension, sans confus
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vous ait intéressé ? Dites-moi plutôt comment il
faudrait
faire pour ne pas s’y intéresser ! Le point de départ de ma réflexion
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est l’histoire de manifestations successives… Il
faut
aussi se souvenir que mon historicisme est fondé en théologie. Le chr
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de l’avenir de l’Europe et du monde ! C’est qu’il
faut
partir de l’avenir si l’on veut comprendre l’aujourd’hui. La vocation
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e, sinon le futur éternel ? Avant toute chose, il
faut
considérer la fin ! C’est vrai que je collabore aux études sur l’an 2
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collabore aux études sur l’an 2000. Seulement, il
faut
comprendre qu’une prévision passive est un non-sens. C’est folie que
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e commence donc par la fin. Avant toute chose, il
faut
considérer la fin. 4) Si la fin ne justifie pas les moyens, qu’est-ce
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, évidemment. C’est de la fin des fins qu’il nous
faut
donc partir. 5) La fin seule justifie les moyens s’ils sont les vrais
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olitiques au pouvoir aujourd’hui proclament qu’il
faut
la faire et font semblant de la vouloir, parce qu’ils savent bien que
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. Pompidou dans son discours de Poitiers : « Il a
fallu
mille ans, ou presque, d’efforts pour créer une existence nationale.
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ine et la guerre, nous n’aurons pas le choix : il
faudra
subir les deux. » Surtout qu’on ne parle pas de « retour à la nature
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ntière, cette fois, qui en est à tout risquer. Il
faut
donc que ce soit pour tout avoir… Ou bien la terre n’est plus vouée q
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droite ? — (Il se fâche.) Où prenez-vous ça ? Il
faudrait
n’avoir rien lu de moi, sauf quelques citations dans un libelle du pe
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oir avec le groupuscule fascisant d’après-guerre,
faut
-il le préciser. 3. L’Idéologie française, de Bernard-Henri Lévy. 4