1
chisme qui domine la psyché occidentale depuis la
fin
du siècle dernier. (Voir Nietzsche et Lou Salomé, les symbolistes, La
2
sans conteste jusqu’aux floraisons géniales de la
fin
du siècle et du romantisme. Lessing, Herder, Goethe et Schiller vont
3
ternel ? Avant toute chose, il faut considérer la
fin
! C’est vrai que je collabore aux études sur l’an 2000. Seulement, il
4
t réciproque. La société n’a pour réalité et pour
fin
que les personnes qui la composent et son organisation doit la transf
5
de mes jours la juste relation des moyens et des
fins
. Je n’en tirai d’abord que des formules abstraites, mais dont je pres
6
çu. 3) Toute action efficace commence donc par la
fin
. Avant toute chose, il faut considérer la fin. 4) Si la fin ne justif
7
la fin. Avant toute chose, il faut considérer la
fin
. 4) Si la fin ne justifie pas les moyens, qu’est-ce qui les justifie
8
toute chose, il faut considérer la fin. 4) Si la
fin
ne justifie pas les moyens, qu’est-ce qui les justifie ? Une autre fi
9
es moyens, qu’est-ce qui les justifie ? Une autre
fin
, évidemment. C’est de la fin des fins qu’il nous faut donc partir. 5)
10
justifie ? Une autre fin, évidemment. C’est de la
fin
des fins qu’il nous faut donc partir. 5) La fin seule justifie les mo
11
? Une autre fin, évidemment. C’est de la fin des
fins
qu’il nous faut donc partir. 5) La fin seule justifie les moyens s’il
12
a fin des fins qu’il nous faut donc partir. 5) La
fin
seule justifie les moyens s’ils sont les vrais moyens d’une juste fin
13
es moyens s’ils sont les vrais moyens d’une juste
fin
. Car nulle fin ne peut communiquer plus de justice qu’elle n’en compo
14
sont les vrais moyens d’une juste fin. Car nulle
fin
ne peut communiquer plus de justice qu’elle n’en comporte ; et cela,
15
e ; et cela, aux seuls moyens qui portent à cette
fin
. Une fin sans justice ne peut rien justifier, si moraux, efficaces ou
16
la, aux seuls moyens qui portent à cette fin. Une
fin
sans justice ne peut rien justifier, si moraux, efficaces ou corrects
17
cts que soient les moyens qu’on lui applique. Une
fin
toute juste justifie tout ce qu’elle inspire pour la rejoindre en vér
18
eut donc s’exercer sur les moyens qu’à partir des
fins
qui les dictent, selon qu’elles sont bonnes ou mauvaises, relativemen
19
sont bonnes ou mauvaises, relativement à d’autres
fins
plus hautes, et dans la seule mesure où ces moyens servent nécessaire
20
e mesure où ces moyens servent nécessairement ces
fins
. Car un moyen vu sans sa fin est insensé, et ne saurait donc être jug
21
nécessairement ces fins. Car un moyen vu sans sa
fin
est insensé, et ne saurait donc être jugé mauvais ou bon. 1. Relevo
22
i étant ferme assurance, présence anticipée de la
fin
), et justification par la fin. k. Rougemont Denis de, « Descartes i
23
nce anticipée de la fin), et justification par la
fin
. k. Rougemont Denis de, « Descartes inversé ou le zen occidental »,
24
langage mais bien à sa visée première, donc à sa
fin
. Car « de même que les racines expliquent moins la fleur qu’elles ne
25
la fleur qu’elles ne sont impliquées par elle, la
fin
d’une phrase justifie seule son commencement, et toute arrivée est à
26
art et moteur de parcours… Tout se définit par sa
fin
ou se détermine par son terme ». Ce principe d’une philosophie ainsi
27
e quart des terres cultivables de la planète, mis
fin
à cinq-cent-trente espèces animales et à vingt mille espèces végétale
28
s moyens de répondre à l’appel de nos plus hautes
fins
. Car toute cette entreprise démesurée, qui pourrait n’être qu’une nie
29
et fondatrice des vallées, qui reçoivent à cette
fin
l’« immédiateté impériale » : désormais, elles ne relèveront plus des
30
, qui tenaient la moitié sud de la France vers la
fin
du xvie siècle, sous la direction des princes du sang et de maréchau