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tures jusqu’à ce siècle. Laissons ici de côté les
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plaisants récits de prouesses plus ou moins sportives dans la traditi
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e nationale », synthétique ou imposée, et la très
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densité culturelle n’étaient pas sans relations d’interaction, sinon
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affectif et lyrique. Tout cela qui n’était pas le
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de Valéry. Et tout cela explique peut-être son pessimisme quant à l’i
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conduite ou de ma réflexion. Je les consigne ici,
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brièvement, réservant pour la suite le soin d’en formuler les fondeme