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es du xviiie siècle construisant des palais pour
leurs
maîtresses — agrémentés de farces et attrapes, comme à Salzbourg — co
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t du siècle, apparaîtront comme des libérateurs :
leur
doctrine « explique tout » puisqu’elle rend compte d’un grand nombre
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les unes aux autres ne tendent pas à recréer dans
leur
propre sein des différences situées sur d’autres axes que ceux où se
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t, c’est qu’ils jouent tous dans le même sens. De
leur
ensemble on ne peut plus hétéroclite se dégage une loi générale. À l’
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qui seraient compétentes partout où les tâches et
leur
concertation se révéleraient d’échelle continentale — et là seulement
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naturelles ou nouvelles reparaissent ou accusent
leur
relief. Mais il y a plus : leur résurgence serait celle d’un chauvini
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ssent ou accusent leur relief. Mais il y a plus :
leur
résurgence serait celle d’un chauvinisme local plus irrespirable que
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politique qui inspire l’action des fédéralistes.
Leur
visée générale s’ordonne naturellement à la loi sociologique ou bioph
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le, d’autres l’autonomie régionale, quelques-unes
leur
séparation et leur rattachement immédiat à l’Europe fédérée de demain
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nomie régionale, quelques-unes leur séparation et
leur
rattachement immédiat à l’Europe fédérée de demain. II. — Les plans d
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uler et les huit Bernouilli, ses cousins, font de
leur
ville « la capitale des sciences exactes » de leur époque. Ils propag
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eur ville « la capitale des sciences exactes » de
leur
époque. Ils propagent au loin par leur enseignement, en Hollande, en
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actes » de leur époque. Ils propagent au loin par
leur
enseignement, en Hollande, en Prusse, en Russie, le rayonnement de le
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Hollande, en Prusse, en Russie, le rayonnement de
leurs
découvertes et de leurs méthodes. Genève assiste alors aux combats ho
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Russie, le rayonnement de leurs découvertes et de
leurs
méthodes. Genève assiste alors aux combats homériques entre celui qui
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itaire sur la cendre des peuples et la mémoire de
leur
grandeur ? Puis relisons La Crise de l’Esprit : Elam, Ninive, Babyl
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es avait aussi peu de signification pour nous que
leur
existence même. Mais France, Angleterre, Russie… ce seraient aussi de
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refusent toute espèce d’union sous le prétexte de
leur
« souveraineté » — d’ailleurs de plus en plus fictive — cette politiq
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de puissance. À cause de nos nationalismes et de
leur
concurrence insane, qui réduit chacun d’eux à l’impuissance, il faut
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urope, puisque Rhin, Rhône, Danube, Pô y prennent
leur
source et que de ce sommet une vallée descend vers l’Italie, une vers
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idence. Pour moi, ces journaux de 1926 à 1946, et
leur
suite — le Journal d’un Européen — qui ne saurait tarder, ont pour ob
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on pas tel homme, ni son époque en soi, mais bien
leurs
rapports qui à mes yeux sont seuls vivants, réels, dignes d’intérêt.
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me M. Georges Pompidou. « Briser les nations pour
leur
substituer des régions ? Cette tendance absurde de bâtir l’avenir sur
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s plus nombreuses encore par une autre nation qui
leur
impose sa langue). L’unité nationale au-dessus-de-tout, partout — Deu
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des hommes au pouvoir et une extrême nervosité de
leurs
polices, donc un danger, pour eux, réel ou imaginaire. Ni imbécile au
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au surplus responsable de l’expression qui paraît
leur
faire tellement peur, je vais tenter de débrouiller quelques malenten
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eure d’unir les Européens du xxe siècle : éviter
leur
colonisation politique par l’Est et leur colonisation économique par
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: éviter leur colonisation politique par l’Est et
leur
colonisation économique par l’Ouest ; ou les deux ensemble. Non que l
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ondial, trop grands pour animer la vie civique de
leurs
régions, les États-nations sont condamnés par toute l’évolution du mo
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on. Elles seront ouvertes les unes aux autres, et
leur
objectif général sera de nouer des liens, de créer un tissu de relati
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our les autres. La révolte des ethnies montre que
leurs
problèmes sont insolubles dans le cadre stato-national, et qu’ils app
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rès-demain — voilà qui suffit pour qu’on pardonne
leur
nationalisme souvent borné : il n’est dangereux que pour elles seules
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ou la relativité et la psychanalyse reconduites à
leurs
tautologies ou à leur misère philosophique ; l’Incantation aux momies
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psychanalyse reconduites à leurs tautologies ou à
leur
misère philosophique ; l’Incantation aux momies, dans lequel les reli
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s et Marx se voient renvoyés au néant noétique de
leur
commun matérialisme. En désaccord avec Deshusses sur l’interprétation
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u siècle, traversait les deux chaînes des Alpes à
leur
unique intersection, entre les sources du Rhône et du Rhin, reliant a
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s. Elles n’éprouveront la nécessité de consolider
leurs
liens séculaires qu’en 1848, au lendemain d’une dernière guerre de re
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ieur, les cantons vont faire mieux que renouveler
leur
pacte général : ils se dotent en neuf mois d’une Constitution fédéral
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rois cantons souverains de la Suisse forment dans
leur
ensemble la Confédération suisse ». L’article 2 définit : « Assurer l
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a liberté et les droits des confédérés, accroître
leur
prospérité commune. » L’article 3 précise que « les cantons sont souv
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se que « les cantons sont souverains, en tant que
leur
souveraineté n’est pas limitée par la Constitution fédérale », et qu’
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clare que « la Confédération garantit aux cantons
leur
territoire, leur souveraineté dans les limites définies par l’article
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nfédération garantit aux cantons leur territoire,
leur
souveraineté dans les limites définies par l’article 3, leurs Constit
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aineté dans les limites définies par l’article 3,
leurs
Constitutions, la liberté et les droits du peuple, les droits constit
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fasse aux États-nations ce que ceux-ci ont fait à
leurs
provinces, mais on ne voit que trop bien ce qui incite les jacobins d
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L’Ordre nouveau 2, auxquelles j’ai collaboré dès
leur
naissance. J’avais fondé en même temps une petite revue protestante d
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e d’une région, et que les régions, pour garantir
leur
autonomie, doivent s’unir en fédérations nationales, puis continental
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er. Nos États-nations renfermés dans le carcan de
leurs
frontières n’ont plus d’autre mode de contact que le choc. Mais les r
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ce de ce que sont la passion et le mariage, et de
leur
antinomie. Et cette lecture peut les aider à préciser des notions qui
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préciser des notions qui restaient confuses dans
leur
esprit. Cette clarification peut produire des effets quelque peu comp