1 uples. Mais si on l’utilise sur une base purement nationale on va rendre impossible son usage universel. La Grande-Bretagne a ado

2 itari des coutumes et des idéaux d’une communauté nationale — s’élabore et se consolide dans les mouvements fédéralistes européen

3 éveloppement économique (par rapport à l’ensemble national ) dont elles rendent responsable l’État centralisateur. Les unes exige

4 nt pour but de réduire les disparités économiques nationales (Sud-Ouest français, Mezzogiorno) ou le sous-développement de certain

5 ifs subsistant entre chaque région et sa capitale nationale . 3. Éduquer les nouvelles générations dès l’école primaire dans l’opt

6 L’absence d’une « culture nationale  », facteur du développement intellectuel (26-27 septembre 1971)g I

7 quelle l’Europe serait une addition de « cultures nationales  » coïncidant comme par miracle avec les frontières politiques des Éta

8 miracle avec les frontières politiques des États nationaux post-napoléoniens, remaniés et multipliés au xxe siècle. En revanche

9 Il m’a toujours semblé que l’absence de « culture nationale  », synthétique ou imposée, et la très forte densité culturelle n’étai

10 nfin ce que je voudrais appeler la seule création nationale des Suisses, je veux dire le fédéralisme — terme clé de notre existen

11 . Rougemont Denis de, « L’absence d’une ‟culture nationale ”, facteur du développement intellectuel », Le Monde, Paris, 26–27 sep

12 ore que « le bien le plus précieux, c’est l’unité nationale  » (entendons l’unification plus ou moins forcée de six ou sept « nati

13 autre nation qui leur impose sa langue). L’unité nationale au-dessus-de-tout, partout — Deutschland über alles, pour prendre un

14 oque tout, c’est la prétention à une souveraineté nationale absolue, qui serait incapable de se manifester par autre chose que pa

15 s, ou presque, d’efforts pour créer une existence nationale . » C’est dire quelles résistances des peuples on a dû vaincre ! Le pa

16 mainmise d’un appareil étatique sur les réalités nationales , en vue de la guerre (seule excuse à la centralisation à tous autres

17 de l’ethnie qui a réduit les autres à son « unité nationale  », — valeur suprême pour elle, oppression pour les autres. La révolte

18 t de masses visant à constituer de grandes unités nationales uniformes. Contre ce double péril, intérieur et extérieur, les canton

19 e, qui se composera de deux chambres : le Conseil national , formé des députés du peuple suisse, et le Conseil des États (corresp

20 re, de l’Espagne — ces trois prototypes de l’État national . Les pratiques fédérales ou fédératives ont dominé dans les deux tier

21 tir leur autonomie, doivent s’unir en fédérations nationales , puis continentales. Vos réactions, quand la gauche française a annon