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est rattaché à aucune institution internationale,
ni
à aucune instance gouvernementale. Son directeur est Denis de Rougemo
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ment de mission européenne. L’Unesco n’a pour but
ni
de favoriser l’union de l’Europe, ni de susciter l’éveil d’un sentime
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n’a pour but ni de favoriser l’union de l’Europe,
ni
de susciter l’éveil d’un sentiment européen. Avez-vous également une
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rdictions rituelles, pas une recette de fécondité
ni
de plaisir ; il admet simplement les rites judaïques (la circoncision
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tauré ! Comme il est entendu qu’on ne doit parler
ni
de l’argent, ni de ces choses auxquelles pensent parfois les jeunes g
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est entendu qu’on ne doit parler ni de l’argent,
ni
de ces choses auxquelles pensent parfois les jeunes gens, Marx et Fre
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res et qui ne correspondent plus à nulle réalité,
ni
ethnique ni économique. Sur toutes les frontières de nos États, les e
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e correspondent plus à nulle réalité, ni ethnique
ni
économique. Sur toutes les frontières de nos États, les exemples abon
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La vie culturelle suisse n’a pas d’autre secret.
Ni
d’ailleurs la vie culturelle de l’Europe tout entière dans l’espace e
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tropes de Notker le Bègue, dès le viiie siècle),
ni
de l’Université de Bâle au xve siècle (Érasme, Paracelse, Holbein et
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siècle (Érasme, Paracelse, Holbein et Frobenius),
ni
de la Genève de Calvin (ce Picard venu de Strasbourg et qui agira sur
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ion sujet-objet, jamais dans le subjectivisme pur
ni
dans l’à priori d’une objectivité systématique. Et de là viennent san
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thique, une culture, dont la valeur suprême n’est
ni
l’individu ni la nation, mais la personne librement reliée, l’autonom
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lture, dont la valeur suprême n’est ni l’individu
ni
la nation, mais la personne librement reliée, l’autonomie des solidai
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» Et ce n’était nullement faire preuve d’orgueil
ni
encore moins d’impérialisme. C’était simplement une manière de défini
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, c’est le français qu’on y parle, non le breton,
ni
l’alsacien, ni l’occitan. Le parler ? Mais l’écrire… Bon Dieu ! pour
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çais qu’on y parle, non le breton, ni l’alsacien,
ni
l’occitan. Le parler ? Mais l’écrire… Bon Dieu ! pour qui nous prenez
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oses n’ont pas beaucoup changé depuis mon enfance
ni
depuis le temps où je l’écrivais avec toute l’insolence de mes 20 ans
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enant en tension, sans confusion, sans séparation
ni
subordination de l’un à l’autre, qu’il s’agisse de l’homme et de la f
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s un terme, mais une relation. Non pas tel homme,
ni
son époque en soi, mais bien leurs rapports qui à mes yeux sont seuls
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ts : pensez au noir ! Ne pensez pas à votre main,
ni
à ce que fait l’index qui a pris le cran d’arrêt. Quand vous serez as
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des régions — sans laquelle l’Europe ne sera pas,
ni
les régions. « L’expression ‟Europe des régions” non seulement me hér
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es, donc un danger, pour eux, réel ou imaginaire.
Ni
imbécile au point de ne pas m’en apercevoir, ni gauchiste, ni réactio
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. Ni imbécile au point de ne pas m’en apercevoir,
ni
gauchiste, ni réactionnaire, ni plus ignorant de l’histoire qu’aucun
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au point de ne pas m’en apercevoir, ni gauchiste,
ni
réactionnaire, ni plus ignorant de l’histoire qu’aucun de ceux que je
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m’en apercevoir, ni gauchiste, ni réactionnaire,
ni
plus ignorant de l’histoire qu’aucun de ceux que je viens de citer ;
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ne n’écrit une langue plus claire, plus efficace,
ni
plus radicale, en ce sens qu’elle nous réfère sans cesse à ses racine
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sormais, elles ne relèveront plus des seigneuries
ni
des puissances voisines, mais de la seule couronne qui symbolise la g
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ort nous sépare », donc sans limitation d’intérêt
ni
de temps. Enfin quelque chose de grand, et qui serait en même temps r
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ne conquiert pas avec des chars les dons de l’âme
ni
les raisons de vivre dont on manque ». J’ai été l’un des initiateurs