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ecteur, Au moment où tout le monde parle d’union,
on
sème l’anarchie dans l’un des domaines où elle serait le plus urgente
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istique, sociale, psychologique et politique dont
on
ait jamais disposé. Cet instrument peut unir les peuples. Mais si on
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sé. Cet instrument peut unir les peuples. Mais si
on
l’utilise sur une base purement nationale on va rendre impossible son
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s si on l’utilise sur une base purement nationale
on
va rendre impossible son usage universel. La Grande-Bretagne a adopté
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ment une activité politique ou économique ? Quand
on
dit « Europe »… Nous cherchons naturellement à créer une conscience c
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Europe et de sa situation actuelle dans le monde.
On
peut appeler cela politique, nous appelons cela éducation. Parmi les
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ne longue et vieille histoire (7 juin 1969)d e
On
appelle la jeunesse à se libérer de toute espèce de tabous sexuels, e
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es que Satan fait subir au Christ dans le désert.
On
me dira que l’Église s’est rattrapée ? Très tardivement, très partiel
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lzbourg — contraste avec l’extrême sévérité que l’
on
réserve aux hérésies. Les traités des Pères de l’Église sur le mariag
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essaient d’animer le rêve médiéval. Car même si l’
on
décrète l’impossibilité d’un lien quelconque entre la cortezia des tr
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s œuvres qui ont marqué un style de l’amour. Si l’
on
définit l’érotisme comme l’usage non procréateur de la sexualité, au
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né, des beaux-arts, et surtout de la littérature,
on
peut dire que l’Astrée est la première version d’une érotique sentime
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enfin le tabou restauré ! Comme il est entendu qu’
on
ne doit parler ni de l’argent, ni de ces choses auxquelles pensent pa
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grand nombre de faits précis à partir de ce que l’
on
taisait ou censurait. Le freudisme n’a nullement « déchaîné la sexual
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ionaliste en Europe occidentale (avril 1971)f
On
peut se demander si nos sociétés qui deviennent de plus en plus énorm
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s jouent tous dans le même sens. De leur ensemble
on
ne peut plus hétéroclite se dégage une loi générale. À l’excessive di
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e 1944, ce texte proclame qu’à l’État totalitaire
on
ne peut opposer sérieusement que la fédération européenne, et que cel
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s et par des pouvoirs régionaux. Ce manifeste (qu’
on
peut lire dans le précieux recueil intitulé L’Europe de demain, La Ba
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encore tout bloquer, amènent à constater que si l’
on
veut faire l’Europe il faut ouvrir le cadre stato-national et dépasse
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nguistiques, écologiques ou politiques. Mais si l’
on
considère l’ensemble de ces « cas spéciaux », on voit se dégager deux
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’on considère l’ensemble de ces « cas spéciaux »,
on
voit se dégager deux classes de motifs principaux, les ethniques et l
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stement aberrants », comme l’écrit J.-F. Gravier.
On
voit tout de suite par ces exemples que les régions ethniques et les
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autre ensemble de six millions d’habitants que l’
on
choisirait dans l’un des grands pays voisins. Quelques indications ch
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uistique générale et inaugure la sémiologie, dont
on
connaît l’impact sur toutes les sciences humaines — et pas seulement
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par suite la pédagogie dans le monde entier. Si l’
on
cherche les traits communs aux esprits créateurs qu’a engendrés la Su
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s aux esprits créateurs qu’a engendrés la Suisse,
on
trouve presque toujours une recherche de la connaissance active, éduc
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fuse de l’Europe » — déjà très bien cristallisée,
on
vient de le voir, — Valéry en arrive à sa théorie des trois sources :
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t réduction aux surprises de la simplicité.) Si l’
on
tient « les trois sources » pour la définition d’un ensemble de carac
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trées de l’Europe n’y seraient pas incluses. Mais
on
y a vu communément une définition générale et substantielle. À qui s’
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vrait, par une sorte de trahison, à ceux mêmes qu’
on
entendait dominer, les méthodes et les instruments de puissance. À c
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nt de Neuchâtel. Mais enfin, c’est le français qu’
on
y parle, non le breton, ni l’alsacien, ni l’occitan. Le parler ? Mais
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concept d’engagement, mais certes pas l’usage qu’
on
en a fait au cours des dernières décennies. Mon premier livre, paru e
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pensées depuis sa première publication en 1939 ?
On
a même parlé de mutation… Révisé ? Non ! J’ai répondu aux critiques q
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e des mœurs l’évolution est même plus profonde qu’
on
ne le croit, mais elle va dans le sens que j’annonçais. Il me semble
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monde ! C’est qu’il faut partir de l’avenir si l’
on
veut comprendre l’aujourd’hui. La vocation (passion, mariage ou polit
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se naguère insoupçonnée. Je faisais tout ce que l’
on
me prescrivait, et que je voyais faire aux autres. Je prenais avec so
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endant la date approchait du grand concours que l’
on
nommait « tir au galon ». Dans chaque unité, l’on poussait l’entraîne
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on nommait « tir au galon ». Dans chaque unité, l’
on
poussait l’entraînement des meilleurs tireurs. On négligeait les autr
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on poussait l’entraînement des meilleurs tireurs.
On
négligeait les autres, et je me résolus à profiter de ce répit pour t
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x, efficaces ou corrects que soient les moyens qu’
on
lui applique. Une fin toute juste justifie tout ce qu’elle inspire po
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e du nationalisme non pas corse ou occitan, comme
on
eût pu s’y attendre, mais uniquement français, proclame encore que «
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ns majeures de promouvoir les régions en Europe :
On
ne peut « faire l’Europe » que fédérale — non unitaire —, et les régi
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s ou des États, bref, l’Europe des États-nations,
on
ne la fera jamais : c’est un cercle carré. La réunion de Washington v
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eut se dire, non se faire, pour des raisons que l’
on
voit très bien. Personne n’en veut d’ailleurs, et ses protagonistes m
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soi, mais aussi à Bruxelles et à Strasbourg, où l’
on
se veut avant tout « réaliste ». Ceux qui l’ont crue possible sur ces
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ar le refus périodique des mesures communes que l’
on
propose. Refus qui s’adresse simultanément à la fédération (supranati
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ale. » C’est dire quelles résistances des peuples
on
a dû vaincre ! Le patriotisme actuel consiste en une « équation entre
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istes » c’est de reproduire en plus petit ce dont
on
a souffert et qu’on a décidé de détruire : des régions définies par u
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roduire en plus petit ce dont on a souffert et qu’
on
a décidé de détruire : des régions définies par une seule fonction au
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demain et après-demain — voilà qui suffit pour qu’
on
pardonne leur nationalisme souvent borné : il n’est dangereux que pou
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sions passionnées que nous menions, au temps de l’
ON
, entre les nietzschéens, qui dominaient le groupe, les catholiques d’
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limentés, les deux autres mangent deux fois trop.
On
prévoit que cinq-cents-millions d’enfants mourront de faim dans les v
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le choix : il faudra subir les deux. » Surtout qu’
on
ne parle pas de « retour à la nature », expression de l’espèce « cerc
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de faire face à la vérité dans tous ses risques,
on
n’avait pas vu cela depuis Nietzsche. Jérôme Deshusses a le temps pou
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es ligues suisses. Dans cet ensemble hétéroclite,
on
parle quatre langues (aujourd’hui officielles), on pratique deux conf
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n parle quatre langues (aujourd’hui officielles),
on
pratique deux confessions (qui s’affronteront dans plusieurs guerres
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guerres civiles, jusqu’en 1848), et, avant tout,
on
est jaloux de préserver ses traditions particulières, ses modes de vi
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a lecture exclusive mais obligatoire du Moniteur.
On
a trop dit que l’union fédérale est une union dans la diversité comme
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, résident la santé et la vitalité de l’ensemble.
On
voit ici la double erreur tragique des jacobins de gauche et de droit
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s ce que ceux-ci ont fait à leurs provinces, mais
on
ne voit que trop bien ce qui incite les jacobins de tous pays à crain
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et le projet de Constitution belge. Mais, dira-t-
on
, toutes les fédérations existantes ne se voient-elles pas contraintes
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par nature, conventionnelles. En revanche, lorsqu’
on
l’invoque avec passion, comme on l’a fait tout au long de la campagne
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revanche, lorsqu’on l’invoque avec passion, comme
on
l’a fait tout au long de la campagne pour l’élection de l’Assemblée d
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t adoptées les groupes de jeunes intellectuels qu’
on
appelle aujourd’hui « les non-conformistes des années 1930 », et que
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monde entier qu’il est des victoires impossibles.
On
ne conquiert pas avec des chars les dons de l’âme ni les raisons de v
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rs les dons de l’âme ni les raisons de vivre dont
on
manque ». J’ai été l’un des initiateurs à ce moment-là, d’un mouvemen
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litaire, la Ligue du Gothard. Je devenais gênant.
On
m’a envoyé aux États-Unis faire connaître la Suisse et jouer l’orator
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des choses espérées, ferme assurance de celles qu’
on
ne voit pas », selon l’Épître aux Hébreux. L’avenir du personnalisme
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uire des effets quelque peu comparables à ceux qu’
on
attend d’une psychanalyse. Pensez-vous que les tabous identifiés dans
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plus peur qu’envie d’être libres. Pourtant, quand
on
m’aura démontré que mes efforts resteront vains, qu’ils ne changeront
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-quinze ans. Déjà, à New York, pendant la guerre,
on
lui disait : “Comment, c’est vous l’auteur de L’Amour et l’Occident
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c’est vous l’auteur de L’Amour et l’Occident ?
On
vous imaginait avec une grande barbe blanche !” Il n’a toujours pas c