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Monsieur le directeur, Au moment où tout le monde
parle
d’union, on sème l’anarchie dans l’un des domaines où elle serait le
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ns. Pourtant l’Unesco couvre ces domaines et vous
parlez
de nécessité… En voulant rester européen, notre Centre ne fera pas do
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bou restauré ! Comme il est entendu qu’on ne doit
parler
ni de l’argent, ni de ces choses auxquelles pensent parfois les jeune
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: il a seulement autorisé une manière nouvelle de
parler
des choses du sexe. Et il a montré les relations profondes de l’éroti
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e voit mieux, se vérifie plus aisément. Sans même
parler
de l’abbaye de Saint-Gall, source principale de la musique européenne
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etite Suisse à l’Europe et au monde ? Il faudrait
parler
de Dada, qui explose à Zurich au moment où Lénine s’y prépare à parti
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t, inaugurant le « spectacle total ». Il faudrait
parler
de la musique, d’Arthur Honegger et de Frank Martin à Rolf Liebermann
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t ne sait pas s’il est encore vivant. Valéry nous
parlait
sans ménagements. Certes, réduire l’Europe à sa surface physique étai
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Neuchâtel. Mais enfin, c’est le français qu’on y
parle
, non le breton, ni l’alsacien, ni l’occitan. Le parler ? Mais l’écrir
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e, non le breton, ni l’alsacien, ni l’occitan. Le
parler
? Mais l’écrire… Bon Dieu ! pour qui nous prenez-vous ? Rousseau, Mme
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Ramuz, C.-A. Cingria, G. de Reynold, pour ne pas
parler
des vivants, ce n’est pas rien ! Plus modestement, entre 1830 et 1900
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epuis sa première publication en 1939 ? On a même
parlé
de mutation… Révisé ? Non ! J’ai répondu aux critiques qui ont été fo
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… », déclare à son tour M. Michel Debré. Ceux qui
parlent
de régions sont « des imbéciles ignorant l’histoire », « des inadapté
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ix : il faudra subir les deux. » Surtout qu’on ne
parle
pas de « retour à la nature », expression de l’espèce « cercle carré
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ligues suisses. Dans cet ensemble hétéroclite, on
parle
quatre langues (aujourd’hui officielles), on pratique deux confession