1 1969, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Une longue et vieille histoire (7 juin 1969)
1 llusion, un regard, un air, un rien, et flambe la passion . Conventions et signes suffisent. Les jeux de la cour ont remplacé le
2 ans la troisième : retour en force du mythe de la passion mortelle avec Les Hauts de Hurlevent et, plus tard, Tess d’Urberville
2 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). « Le respect du réel, c’est le revers du paradoxe » (14 décembre 1972)
3 goût et de ce laboratoire. Mais ce qui avait été passion devint devoir, et je le détestai aussitôt. D’où votre haine de l’écol
4 e vocation. Si bien que votre livre est contre la passion … Pas du tout ! Condamner la passion n’aurait pas de sens. Mais il est
5 est contre la passion… Pas du tout ! Condamner la passion n’aurait pas de sens. Mais il est fou de vouloir fonder le mariage su
6 ouloir fonder le mariage sur l’amour seul, car la passion est née contre le mariage. C’est un paradoxe. Il en est d’autres. Vot
7 l’on veut comprendre l’aujourd’hui. La vocation ( passion , mariage ou politique) ne peut venir que de l’avenir. Ce n’est jamais
3 1979, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Le fédéralisme helvétique dans l’Europe d’aujourd’hui (24-25 juin 1979)
8 tionnelles. En revanche, lorsqu’on l’invoque avec passion , comme on l’a fait tout au long de la campagne pour l’élection de l’A
4 1982, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’amour, les régions et l’Occident (20 août 1982)
9 la rencontre dramatique de l’engagement et de la passion . Deux personnes qui s’engagent pour la vie, c’est le mariage, tandis
10 uerre : ils prennent conscience de ce que sont la passion et le mariage, et de leur antinomie. Et cette lecture peut les aider
11 oient encore vivants en 1932 ? Les obstacles à la passion , ou ses excitants, sont-ils les mêmes ? Les tabous ne sont pas des mo