1
ue idéal que nous avons à lutter maintenant, mais
pour que
les hommes vivent et demeurent des hommes… » Vous étiez engagé ! Je p
2
uivront demain et après-demain — voilà qui suffit
pour qu’
on pardonne leur nationalisme souvent borné : il n’est dangereux que p
3
s le ressassent. Il n’y a en vérité aucune raison
pour qu’
une Europe fédérale fasse aux États-nations ce que ceux-ci ont fait à