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itique dont on ait jamais disposé. Cet instrument
peut
unir les peuples. Mais si on l’utilise sur une base purement national
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cun de ces pays, tout espoir d’une télévision qui
puisse
être diffusée dans toutes nos nations sera perdu, et cet instrument u
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ope et de sa situation actuelle dans le monde. On
peut
appeler cela politique, nous appelons cela éducation. Parmi les organ
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des beaux-arts, et surtout de la littérature, on
peut
dire que l’Astrée est la première version d’une érotique sentimentale
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aliste en Europe occidentale (avril 1971)f On
peut
se demander si nos sociétés qui deviennent de plus en plus énormes et
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nt tous dans le même sens. De leur ensemble on ne
peut
plus hétéroclite se dégage une loi générale. À l’excessive distension
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, ce texte proclame qu’à l’État totalitaire on ne
peut
opposer sérieusement que la fédération européenne, et que celle-ci im
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a fois par des autorités continentales et par des
pouvoirs
régionaux. Ce manifeste (qu’on peut lire dans le précieux recueil int
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t par des pouvoirs régionaux. Ce manifeste (qu’on
peut
lire dans le précieux recueil intitulé L’Europe de demain, La Baconni
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Aron et Alexandre Marc. Dès 1938, Gabriel Marcel
peut
écrire : « Comme l’avait vu profondément Arnaud Dandieu, qui, sur ce
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uer un rôle réel à l’échelle planétaire. Aucun ne
peut
plus assurer seul sa défense militaire et sa prospérité, son équipeme
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at-nation à une souveraineté sans limites, qui ne
peut
plus rien animer si elle peut encore tout bloquer, amènent à constate
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ans limites, qui ne peut plus rien animer si elle
peut
encore tout bloquer, amènent à constater que si l’on veut faire l’Eur
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ands pays voisins. Quelques indications chiffrées
peuvent
étayer cette hypothèse. Le sociologue belge Léo Moulin s’étant avisé
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uis entièrement cernée par les totalitaires, qu’a
pu
donner la petite Suisse à l’Europe et au monde ? Il faudrait parler d
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on de tant de jouissances, le cœur et les yeux ne
peuvent
suffire à la multitude des sensations : qui sait si un voyageur comme
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istoire est assez grand pour tout le monde. Tout
peut
être perdu, songe Valéry — et tout l’est peut-être déjà — par la faut
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omme responsable, qui, dans une situation donnée,
peut
dire : j’en réponds ! Mais de quoi l’écrivain peut-il répondre ? De c
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eut dire : j’en réponds ! Mais de quoi l’écrivain
peut
-il répondre ? De ce qu’il écrit, bien sûr, et de la manière dont il l
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trouvé aussi ce souci constant : qu’une pensée ne
peut
être juste que si sa forme la vérifie. Bref, j’écris n’importe quel t
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esser ! Le point de départ de ma réflexion aurait
pu
être cette maxime de La Rochefoucauld : « Combien d’hommes seraient a
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omaine de l’érotique. Entre deux individus, il ne
peut
y avoir qu’une liaison. Mais quand il y a engagement réel et fidélité
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l et fidélité à cet engagement, alors la personne
peut
s’épanouir. Il n’y a mariage qu’entre personnes. Et c’est pourquoi le
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i. La vocation (passion, mariage ou politique) ne
peut
venir que de l’avenir. Ce n’est jamais une voix du passé. Dieu, qu’es
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ransformer en un terrain fertile où les vocations
pourront
s’épanouir. Cette pensée débouche naturellement sur la scène politiqu
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miers, ne suffisent pas pour atteindre le but, et
peuvent
être nuisibles dans la mesure exacte où ils absorbent l’attention, la
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es vrais moyens d’une juste fin. Car nulle fin ne
peut
communiquer plus de justice qu’elle n’en comporte ; et cela, aux seul
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qui portent à cette fin. Une fin sans justice ne
peut
rien justifier, si moraux, efficaces ou corrects que soient les moyen
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’est Dieu seul1. Le jugement de bien ou de mal ne
peut
donc s’exercer sur les moyens qu’à partir des fins qui les dictent, s
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tionalisme non pas corse ou occitan, comme on eût
pu
s’y attendre, mais uniquement français, proclame encore que « le bien
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une curieuse anxiété dans l’esprit des hommes au
pouvoir
et une extrême nervosité de leurs polices, donc un danger, pour eux,
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eures de promouvoir les régions en Europe : On ne
peut
« faire l’Europe » que fédérale — non unitaire —, et les régions en f
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depuis longtemps l’amicale des misanthropes. Cela
peut
se dire, non se faire, pour des raisons que l’on voit très bien. Pers
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e sans les régions. Tous les hommes politiques au
pouvoir
aujourd’hui proclament qu’il faut la faire et font semblant de la vou
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ces hommes, qui avaient tout en main, n’ont rien
pu
faire, c’est vraiment que la formule est impossible. Ce n’est pas l’o
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se. Mon seul regret est que ces deux amis n’aient
pu
siéger ensemble pour témoigner de la durée et de la renaissance des i
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e ne pardonne pas, n’oublie rien… Des coups, elle
peut
en supporter mille et rendre soudain non pas œil pour œil mais apocal
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epuis que l’homme existe, l’idéal n’a pas plus de
pouvoir
que le pouvoir n’a d’idéal. Or, ce qui nous appelait en vain du plus
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me existe, l’idéal n’a pas plus de pouvoir que le
pouvoir
n’a d’idéal. Or, ce qui nous appelait en vain du plus haut de l’espri
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e ». Nous nous sommes mis dans la situation de ne
pouvoir
plus échapper à la destruction nucléaire que par la transfiguration.
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s fins. Car toute cette entreprise démesurée, qui
pourrait
n’être qu’une nietzschéenne « philosophie à coups de marteau » est un
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ent « tous les droits qui ne sont pas délégués au
pouvoir
fédéral ». Moyennant quoi l’article 5 — que j’ai nommé celui de la qu
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cantonales, fût-ce au prix de la délégation à un
pouvoir
fédéral de ceux des attributs de la souveraineté qu’aucun canton ne s
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er les mesures de centralisation ? La Suisse même
peut
-elle échapper à ce processus ? C’est oublier que le principe de répar
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C’est oublier que le principe de répartition des
pouvoirs
, dans une fédération digne du nom, consiste à situer les décisions au
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Ne confiez jamais à une plus grande unité ce qui
peut
être fait par une plus petite. Ce que la famille peut faire, la munic
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être fait par une plus petite. Ce que la famille
peut
faire, la municipalité ne doit pas le faire. Ce que la municipalité p
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lité ne doit pas le faire. Ce que la municipalité
peut
faire, les États ne doivent pas le faire. Et ce que les États peuvent
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tats ne doivent pas le faire. Et ce que les États
peuvent
faire, le gouvernement fédéral ne doit pas le faire. » Il est normal
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t que la formule fédérale qui a fait la Suisse ne
peut
plus se limiter aux frontières de ce pays. Transposant la thèse de Tr
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itations dans un libelle du petit BHL3, qui croit
pouvoir
faire de moi un pronazi — il s’imagine que Hitler était un homme de d
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ous animait quand nous disions que la personne ne
peut
se réaliser que dans l’action, mais que l’action n’est efficace qu’à
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d’une petite communauté, où la voix d’un citoyen
peut
porter, c’est-à-dire à l’échelle d’une région, et que les régions, po
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ncore au centre qu’appartient la distribution des
pouvoirs
, alors que le projet doit partir des citoyens, des communes, des régi
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Ne confiez jamais à une plus grande unité ce qui
peut
être fait par une plus petite. Ce que la famille peut faire, la munic
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être fait par une plus petite. Ce que la famille
peut
faire, la municipalité ne doit pas le faire. Ce que la municipalité p
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lité ne doit pas le faire. Ce que la municipalité
peut
faire, les États (nous dirions : les régions) ne doivent pas le faire
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vent pas le faire. Ce que les États (les régions)
peuvent
faire, le gouvernement fédéral ne doit pas le faire. » Chaque problèm
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e mariage, et de leur antinomie. Et cette lecture
peut
les aider à préciser des notions qui restaient confuses dans leur esp
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nt confuses dans leur esprit. Cette clarification
peut
produire des effets quelque peu comparables à ceux qu’on attend d’une