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bsence, non de l’excès de rigueur d’un code de la
sexualité
dans le christianisme, qu’est né le problème de l’érotisme en Occiden
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it l’érotisme comme l’usage non procréateur de la
sexualité
, au service du plaisir raffiné, des beaux-arts, et surtout de la litt
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vec Racine, tout s’érotise, à un tel point que la
sexualité
en devient comme superflue, ce n’est plus que « Vénus » dans les alex
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nsurait. Le freudisme n’a nullement « déchaîné la
sexualité
», comme le répètent ceux qui l’attaquent sans le connaître : il a se
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me, qui était en somme une forme littéraire de la
sexualité
, tend à relever de plus en plus de l’investigation des sciences humai