1 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). La poussée régionaliste en Europe occidentale (avril 1971)
1 ue celle-ci implique de « dépasser le dogme de la souveraineté absolue des États », à la fois par des autorités continentales et par
2 onstituent les prétentions de l’État-nation à une souveraineté sans limites, qui ne peut plus rien animer si elle peut encore tout b
2 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Paul Valéry et l’Europe (29 octobre 1971)
3 t toute espèce d’union sous le prétexte de leur «  souveraineté  » — d’ailleurs de plus en plus fictive — cette politique est aussi so
3 1974, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). La révolte des régions : l’État-nation contre l’Europe (mars 1974)
4 on. Ce qui bloque tout, c’est la prétention à une souveraineté nationale absolue, qui serait incapable de se manifester par autre ch
4 1979, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Le fédéralisme helvétique dans l’Europe d’aujourd’hui (24-25 juin 1979)
5 e « les cantons sont souverains, en tant que leur souveraineté n’est pas limitée par la Constitution fédérale », et qu’ils exercent
6 ration garantit aux cantons leur territoire, leur souveraineté dans les limites définies par l’article 3, leurs Constitutions, la li
7 és aux autorités ». Quant aux limites posées à la souveraineté des cantons, elles sont définies par l’article 8 : « La Confédération
8 à un pouvoir fédéral de ceux des attributs de la souveraineté qu’aucun canton ne saurait prétendre exercer seul : la défense, les r