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ue celle-ci implique de « dépasser le dogme de la
souveraineté
absolue des États », à la fois par des autorités continentales et par
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onstituent les prétentions de l’État-nation à une
souveraineté
sans limites, qui ne peut plus rien animer si elle peut encore tout b
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t toute espèce d’union sous le prétexte de leur «
souveraineté
» — d’ailleurs de plus en plus fictive — cette politique est aussi so
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on. Ce qui bloque tout, c’est la prétention à une
souveraineté
nationale absolue, qui serait incapable de se manifester par autre ch
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e « les cantons sont souverains, en tant que leur
souveraineté
n’est pas limitée par la Constitution fédérale », et qu’ils exercent
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ration garantit aux cantons leur territoire, leur
souveraineté
dans les limites définies par l’article 3, leurs Constitutions, la li
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és aux autorités ». Quant aux limites posées à la
souveraineté
des cantons, elles sont définies par l’article 8 : « La Confédération
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à un pouvoir fédéral de ceux des attributs de la
souveraineté
qu’aucun canton ne saurait prétendre exercer seul : la défense, les r