1 ude Lévi-Strauss rejoint les conclusions que j’ai tirées pour ma part, depuis plusieurs années, d’une analyse des motifs, extr

2 ice universelle, ou mieux : universalisante. D’où tirions -nous alors, Européens, les qualités indispensables à l’exercice de ce

3 ants, je m’appliquais de toutes mes forces à bien tirer . Mais je suivais les conseils d’ordonnance, et je tirais aussi mal qu

4 Mais je suivais les conseils d’ordonnance, et je tirais aussi mal que possible. Car je me trouvais embarrassé de tant de rece

5 rvait. C’était un tout jeune lieutenant. — « Vous tirez mal », dit-il avec une douceur froide, au moment où je me félicitais

6 vos doigts sont crispés. Rien d’étonnant si vous tirez trop bas. Vous arrachez… Voulez-vous apprendre à tirer ? » Il me rega

7 trop bas. Vous arrachez… Voulez-vous apprendre à tirer  ? » Il me regarda, et voyant dans mes yeux une bonne volonté en détre

8 la juste relation des moyens et des fins. Je n’en tirai d’abord que des formules abstraites, mais dont je pressentais, en tou

9 s grave possible en temps de guerre. Je m’en suis tiré avec une condamnation à quinze jours de forteresse, mais, après cela,