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taux auront été investis dans chacun de ces pays,
tout
espoir d’une télévision qui puisse être diffusée dans toutes nos nati
2
ir d’une télévision qui puisse être diffusée dans
toutes
nos nations sera perdu, et cet instrument universel par définition se
3
qu’il faut absolument adopter un standard unique,
tout
au moins pour l’Europe. Tout investissement de capitaux devrait être
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un standard unique, tout au moins pour l’Europe.
Tout
investissement de capitaux devrait être suspendu, et une réunion d’ex
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969)d e On appelle la jeunesse à se libérer de
toute
espèce de tabous sexuels, et d’abord des tabous chrétiens. L’ennui, c
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t que l’Évangile ne connaît pas de tabous, et que
tout
érotisme suppose un système de règles sociales : sans gênes, il n’est
7
ge dans l’âme et à l’âme dans le corps. Il refuse
toute
facilité, cherche l’obstacle à surmonter — social, moral et spirituel
8
tions du sentiment par son expression rhétorique.
Toutes
les femmes qu’il célèbre sont mariées, deviennent objet d’adoration,
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ses pensées : « Par elle seule je serai sauvé ! »
Tout
cela — qui est d’abord occitan, arabe, celte et anglo-saxon — va donn
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ntale dans la littérature française. Avec Racine,
tout
s’érotise, à un tel point que la sexualité en devient comme superflue
11
ée en préciosité. Le xviiie dissocie l’érotique.
Tout
est sexe, et le mariage nul, dans les Liaisons et dans Faublas. Tout
12
e mariage nul, dans les Liaisons et dans Faublas.
Tout
est sexe, et le sentiment nul, chez Sade, qui traduit cyniquement le
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comme des libérateurs : leur doctrine « explique
tout
» puisqu’elle rend compte d’un grand nombre de faits précis à partir
14
t avec une imagerie et des poncifs sadiques, mais
tout
cela se trouve curieusement transposé dans l’atmosphère du masochisme
15
uniformisation de collectivités agrandies hors de
toutes
prises de l’individu, la différenciation sécurisante de petites commu
16
ers librement rayonnants. Cette loi structurelle,
tout
à fait générale, me paraît avoir gouverné les entreprises régionalist
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qui ne peut plus rien animer si elle peut encore
tout
bloquer, amènent à constater que si l’on veut faire l’Europe il faut
18
s à nulle réalité, ni ethnique ni économique. Sur
toutes
les frontières de nos États, les exemples abondent : Basques et Catal
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ne fédération pluraliste intégrant les apports de
toute
l’Europe. Parmi les douze prix Nobel suisses de sciences, quatre sont
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fet. Libres de la tutelle d’une capitale qui veut
tout
uniformiser, les foyers régionaux se développent, d’autant plus contr
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cret. Ni d’ailleurs la vie culturelle de l’Europe
tout
entière dans l’espace et dans le temps, mais en Suisse, cela se voit
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rckhardt restitue la virtu de la Renaissance ; et
toute
l’œuvre de son jeune collègue et fervent disciple, Nietzsche, sera ma
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ugure la sémiologie, dont on connaît l’impact sur
toutes
les sciences humaines — et pas seulement sur les récents structuralis
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vaniteuses ou masochistes ? Valéry constatait : «
Tout
est venu à l’Europe, et tout en est venu, ou presque. » Et ce n’était
25
aléry constatait : « Tout est venu à l’Europe, et
tout
en est venu, ou presque. » Et ce n’était nullement faire preuve d’org
26
aléry en arrive à sa théorie des trois sources :
Toute
race et toute terre qui a été successivement romanisée, christianisée
27
e à sa théorie des trois sources : Toute race et
toute
terre qui a été successivement romanisée, christianisée, et soumise,
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les propriétés soient énonçables en peu de mots,
tout
ce qui fascine son esprit. (L’élégance de son style est celle d’un th
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e Stockholm à Grenade, et de Lisbonne à Varsovie.
Tout
ce « reste » atlantique et nordique, celte ou germain, arabe ou slave
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pas européen, ou de seconde zone ? Mais cela fait
toute
la poésie, toute la musique, des troubadours à Mallarmé et du Tristan
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de seconde zone ? Mais cela fait toute la poésie,
toute
la musique, des troubadours à Mallarmé et du Tristan de Béroul à celu
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el, physique, physiologique, affectif et lyrique.
Tout
cela qui n’était pas le fort de Valéry. Et tout cela explique peut-êt
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. Tout cela qui n’était pas le fort de Valéry. Et
tout
cela explique peut-être son pessimisme quant à l’issue de l’aventure
34
e l’histoire est assez grand pour tout le monde.
Tout
peut être perdu, songe Valéry — et tout l’est peut-être déjà — par la
35
e monde. Tout peut être perdu, songe Valéry — et
tout
l’est peut-être déjà — par la faute des disputes périmées que nous pr
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Armagnacs et aux Bourguignons que de prendre sur
toute
la terre le grand rôle que les Romains surent prendre. Ce que Valéry
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e la politique de nos États-nations, qui refusent
toute
espèce d’union sous le prétexte de leur « souveraineté » — d’ailleurs
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que naïve : Il n’y aura rien eu de plus sot dans
toute
l’histoire que la concurrence européenne en matière politique et écon
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t à être gouvernée par une commission américaine.
Toute
sa politique s’y dirige. Valéry n’a peut-être pas envisagé que l’Éta
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sformé le grenier de notre maison en laboratoire.
Tout
ce qui était germination me passionnait… Je fabriquais des plantes ar
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un nouveau traité sur le Brachinus crepitans ? De
toute
l’épaisseur du gymnase scientifique où j’entrai par la vertu de ce go
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enfance ni depuis le temps où je l’écrivais avec
toute
l’insolence de mes 20 ans. C’était aussi violent qu’Ivan Illich aujou
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mesure, le signe de l’absolu, du peu de valeur de
toute
action, le rappel que « la subjectivité est la vérité ». J’ai fait un
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uit pour nous et annote en arabe du xiie siècle.
Tout
cela dans ces années 1932 à 1936, qui voient triompher Hitler, Mussol
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istoriques et religieuses. Et je savais aussi que
tout
existe, virtuellement, mais que tout ne se manifeste pas, que l’histo
46
is aussi que tout existe, virtuellement, mais que
tout
ne se manifeste pas, que l’histoire est l’histoire de manifestations
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En trois mois, dans une sorte de fièvre. Comme si
tout
, ma vie personnelle aussi bien que ma réflexion, m’avait préparé à l’
48
ien que votre livre est contre la passion… Pas du
tout
! Condamner la passion n’aurait pas de sens. Mais il est fou de voulo
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goût profond. Mais il est d’abord la condition de
toutes
les libertés, qui est le respect des antinomies. Il est la légèreté d
50
. Dieu, qu’est-ce, sinon le futur éternel ? Avant
toute
chose, il faut considérer la fin ! C’est vrai que je collabore aux ét
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un paradoxe. Mais oui ! Celui de la vérité, ou en
tout
cas de notre réalité. i. Rougemont Denis de, « [Entretien] Le res
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taire les sergents harcelants, je m’appliquais de
toutes
mes forces à bien tirer. Mais je suivais les conseils d’ordonnance, e
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d’une maladresse naguère insoupçonnée. Je faisais
tout
ce que l’on me prescrivait, et que je voyais faire aux autres. Je pre
54
’un d’entre eux cependant m’observait. C’était un
tout
jeune lieutenant. — « Vous tirez mal », dit-il avec une douceur froid
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formules abstraites, mais dont je pressentais, en
toute
confiance, que la vie où j’allais rentrer saurait les illustrer dans
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qu’aucune méthode, ou qu’aucun prétexte reçu. 3)
Toute
action efficace commence donc par la fin. Avant toute chose, il faut
57
e action efficace commence donc par la fin. Avant
toute
chose, il faut considérer la fin. 4) Si la fin ne justifie pas les mo
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que soient les moyens qu’on lui applique. Une fin
toute
juste justifie tout ce qu’elle inspire pour la rejoindre en vérité —
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qu’on lui applique. Une fin toute juste justifie
tout
ce qu’elle inspire pour la rejoindre en vérité — et c’est Dieu seul1.
60
e encore des sacrifices humains, et les obtienne.
Toutes
ces déclarations traduisent une curieuse anxiété dans l’esprit des ho
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pires que nous, mais la colonisation est pire que
tout
. Il existe deux raisons majeures de promouvoir les régions en Europe
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urs régions, les États-nations sont condamnés par
toute
l’évolution du monde moderne. Le général de Gaulle l’avait senti. Il
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uccesseurs, hélas, l’ont mal compris. Ils ferment
tout
ce que le général voulait ouvrir. M. Messmer explique, à Lyon, que la
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o-nationales, seules prises en considération dans
toutes
nos capitales, cela va de soi, mais aussi à Bruxelles et à Strasbourg
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Bruxelles et à Strasbourg, où l’on se veut avant
tout
« réaliste ». Ceux qui l’ont crue possible sur ces bases sont morts s
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Adenauer, De Gasperi. Si ces hommes, qui avaient
tout
en main, n’ont rien pu faire, c’est vraiment que la formule est impos
67
ts progrès dans le sens de l’union. Ce qui bloque
tout
, c’est la prétention à une souveraineté nationale absolue, qui serait
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t regardé comme un traître. Pourquoi cela ? C’est
tout
à fait arbitraire. » (Simone Weil, L’Enracinement.) L’État-nation nap
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égions définies par une seule fonction auxquelles
toutes
les autres doivent être subordonnées : fonction militaire dans le cas
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es. Dandieu, c’était la rigueur même, et il avait
tout
lu ; Robert Aron, c’était l’imaginatif vagabond, et il savait mettre
71
ôme Deshusses a lu non pas une fois mais six fois
tout
Kant et tout Hegel (c’est vingt mille pages chacun), puis Schelling,
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a lu non pas une fois mais six fois tout Kant et
tout
Hegel (c’est vingt mille pages chacun), puis Schelling, et même Condi
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d’une phrase justifie seule son commencement, et
toute
arrivée est à la fois motif de départ et moteur de parcours… Tout se
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à la fois motif de départ et moteur de parcours…
Tout
se définit par sa fin ou se détermine par son terme ». Ce principe d’
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e qui n’est plus produit ce qui est ». En vérité,
toutes
les vraies causes sont causes finales. Seul le présent produit du pas
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des forêts la production de l’oxygène dont dépend
toute
la vie sur la Terre. « La nature ne pardonne pas, n’oublie rien… Des
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nt de faim dans les vingt-cinq prochaines années.
Tout
cela pour quels motifs futiles ? « Qui décide d’échanger l’eau douce
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lu et la démence, la surpopulation et la bombe H,
tout
se met en place pour le final : « Entre la famine et la guerre, nous
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« C’est la vie entière, cette fois, qui en est à
tout
risquer. Il faut donc que ce soit pour tout avoir… Ou bien la terre n
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de pour l’essentiel avec ses vues philosophiques,
tout
en ressentant l’absence — est-elle voulue ? — d’une Politique qui mon
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e répondre à l’appel de nos plus hautes fins. Car
toute
cette entreprise démesurée, qui pourrait n’être qu’une nietzschéenne
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on pays — qui est aussi le mien —, voici, loin de
toutes
modes, un vrai « penseur de fond ». Il était temps. o. Rougemont
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ir pour rester libres Garder libre le col pour
toute
l’Europe, telle est la mission initiale et fondatrice des vallées, qu
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sieurs guerres civiles, jusqu’en 1848), et, avant
tout
, on est jaloux de préserver ses traditions particulières, ses modes d
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ère guerre de religion, et devant la montée, dans
toute
l’Europe, du mouvement de masses visant à constituer de grandes unité
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upation déterminante de cette Constitution est de
toute
évidence la sauvegarde des autonomies cantonales, fût-ce au prix de l
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n fédérale, qui procure les moyens de défendre le
tout
, nulle partie n’eût été en mesure d’assurer son indépendance. Les can
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européenne conduirait au contraire à la fusion de
toutes
les diversités dans « un magma informe », comme certains le ressassen
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le projet de Constitution belge. Mais, dira-t-on,
toutes
les fédérations existantes ne se voient-elles pas contraintes, sous l
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èce humaine). Pas question de centralisation dans
tout
cela, mais d’adaptation rationnelle des dimensions d’une tâche à cell
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rsqu’on l’invoque avec passion, comme on l’a fait
tout
au long de la campagne pour l’élection de l’Assemblée des Neuf, elle
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rs à ce moment-là, d’un mouvement de résistance à
tout
prix, à la fois civil et militaire, la Ligue du Gothard. Je devenais
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t très bien où il les avait prises, et me l’a dit
tout
net à New York, mais ne l’a jamais répété à Paris, semble-t-il. Du pe
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e doit être traité et résolu à son échelle, c’est
tout
le secret du système fédéraliste que je tiens pour seul capable de ré
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les jacobins et Napoléon, le mot d’ordre a été de
tout
centraliser. Nos États-nations renfermés dans le carcan de leurs fron
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ontact que le choc. Mais les régions s’articulent
tout
autrement. Elles se groupent, se recouvrent, vivent en symbiose comme
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science Pour beaucoup de gens, vous êtes avant
tout
et malgré tout le reste, l’auteur de L’Amour et l’Occident . Pensez-
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sont pas des modes. L’inceste a été condamné par
toutes
les civilisations. Le complexe d’Œdipe n’a pas changé que je sache de
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Freud. Ce qui n’est peut-être qu’une mode, ou en
tout
cas un phénomène culturel, donc susceptible de changer à plus ou moin