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Violence et brutalité (
1er
juin 1937)a À plusieurs reprises, les collaborateurs de ces Cahier
2
Violence et brutalité (1er juin
1937
)a À plusieurs reprises, les collaborateurs de ces Cahiers ont décl
3
sont si loin de s’opposer que j’y verrais plutôt
deux
synonymes. Reprenons l’exemple du bloc de pierre élevé jusqu’au cintr
4
pierre élevé jusqu’au cintre : on y retrouve ces
trois
caractères de la vraie violence spirituelle, ou de la vraie création
5
r cette brutalité-là, dans son fameux chapitre en
trois
lignes de L’Esprit des Lois : « Quand les sauvages de la Louisiane ve
6
toire de l’après-guerre et de l’établissement des
trois
fascismes le démontre avec éclat : la crainte de la violence suscite
7
là même les premiers à rendre le tyran fatal.
1.
Ce qui a pu faire illusion, reconnaissons-le, c’est la théorie de la
8
’un « évolutionniste brutal » (Aron et Dandieu).
2.
Il y aurait lieu aussi d’analyser la valeur ambiguë de « violence » d
9
ence et brutalité », Les Nouveaux Cahiers, Paris,
1
juin 1937, p. 14-17.
10
brutalité », Les Nouveaux Cahiers, Paris, 1 juin
1937,
p. 14-17.
11
ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (
1er
novembre 1937)b (Quelques remarques sur la méthode) Le désir
12
(Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre
1937
)b (Quelques remarques sur la méthode) Le désir de savoir à qu
13
endroit quelque intention bonne ou mauvaise. Ces
deux
mouvements de défense et d’attaque sont prudemment dissimulés et conf
14
ainte ou cette entreprise projetée, ou encore les
deux
à la fois. En dépit de l’opinion convenue, et justifiée d’ailleurs en
15
espèces (d’où spécialiste) sont le même mot. Tous
deux
remontent à species (latin). Les espèces, devenues épices, étaient :
16
ent : gingembre, muscade, cannelle, poivre. « Les
quatre
espèces » (épices). J’amenderais cette partie, si j’étais l’auteur…
17
et voici le récit, noté sur l’heure : C’était le
26
de juillet, l’anniversaire de ma défunte mère. Le matin je me dis : q
18
jour ? Je n’avais pas grand-chose. Le père et les
deux
fils disent : on est plus jeunes que toi, on va aller au travail, et
19
cluse, je ramasse des anguilles, quelques crabes,
deux
ou trois jambes. Bon, c’est ce qu’il faut pour manger. Ils rentrent d
20
e ramasse des anguilles, quelques crabes, deux ou
trois
jambes. Bon, c’est ce qu’il faut pour manger. Ils rentrent d’avoir ti
21
r tiré le sel et mangent la pêche. J’avais ajouté
deux
ou trois jambes, donc, mais moi je n’en mange pas. Tantôt, ils s’en v
22
e sel et mangent la pêche. J’avais ajouté deux ou
trois
jambes, donc, mais moi je n’en mange pas. Tantôt, ils s’en vont à leu
23
leur ouvrage, moi je reste ici. Ils rentrent vers
6
heures, les jeunes d’abord, parce qu’ils ont des bicyclettes, ils von
24
attribuée au parti pris de l’enquêteur. Entre ces
deux
écueils, le Charybde de l’incohérence et le Scylla du trop prévu, il
25
s sur la méthode) », Les Nouveaux Cahiers, Paris,
1
novembre 1937, p. 18-19. c. Il s’agit du Journal d’un intellectuel
26
thode) », Les Nouveaux Cahiers, Paris, 1 novembre
1937,
p. 18-19. c. Il s’agit du Journal d’un intellectuel en chômage , pu
27
uel en chômage , publié par Denis de Rougemont en
1937.
28
Lectures dirigées dans le IIIe Reich (
15
décembre 1937)d J’ai sous les yeux deux documents qui n’ont rien d
29
Lectures dirigées dans le IIIe Reich (15 décembre
1937
)d J’ai sous les yeux deux documents qui n’ont rien de secret : un
30
e Reich (15 décembre 1937)d J’ai sous les yeux
deux
documents qui n’ont rien de secret : un article de revue et un catalo
31
article de revue et un catalogue d’éditeur, tous
deux
publiés en Allemagne à l’occasion des fêtes. Le catalogue comporte en
32
occasion des fêtes. Le catalogue comporte environ
80
titres (publications récentes et rappels d’œuvres importantes). Ces t
33
ue ; Art et race ; Le visage des chefs allemands (
22e
mille) ; Race et humour ; La mère allemande (80e mille) ; Le livre de
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Art et race ; Le visage des chefs allemands (22e
mille
) ; Race et humour ; La mère allemande (80e mille) ; Le livre des femm
35
(22e mille) ; Race et humour ; La mère allemande (
80e
mille) ; Le livre des femmes nationales-socialistes ; Race, peuple, s
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mille) ; Race et humour ; La mère allemande (80e
mille
) ; Le livre des femmes nationales-socialistes ; Race, peuple, soldat
37
erie, source de la race nordique. L’âme nordique (
30e
mille) ; Race et âme (43e mille) ; Hygiène raciale ; Science raciale
38
, source de la race nordique. L’âme nordique (30e
mille
) ; Race et âme (43e mille) ; Hygiène raciale ; Science raciale du peu
39
rdique. L’âme nordique (30e mille) ; Race et âme (
43e
mille) ; Hygiène raciale ; Science raciale du peuple allemand (en 8 v
40
ue. L’âme nordique (30e mille) ; Race et âme (43e
mille
) ; Hygiène raciale ; Science raciale du peuple allemand (en 8 volumes
41
raciale ; Science raciale du peuple allemand (en
8
volumes de titres divers. — 99e mille en moyenne). Musique et race ;
42
peuple allemand (en 8 volumes de titres divers. —
99e
mille en moyenne). Musique et race ; La France et l’idée raciale ; Ra
43
le allemand (en 8 volumes de titres divers. — 99e
mille
en moyenne). Musique et race ; La France et l’idée raciale ; Race, dr
44
ture pure, et chez lesquelles on ne trouvera, sur
cent
titres, que quatre ou cinq se rapportant à la race. Par contre, la li
45
z lesquelles on ne trouvera, sur cent titres, que
quatre
ou cinq se rapportant à la race. Par contre, la liste que je viens de
46
es on ne trouvera, sur cent titres, que quatre ou
cinq
se rapportant à la race. Par contre, la liste que je viens de recopie
47
des publications allemandes sur ce sujet, depuis
1933.
J’ajoute que la maison d’édition en question n’est nullement spéciali
48
lecteurs au moment des achats de Noël. Voici les
vingt-deux
titres qu’il propose : Une traduction de Wolfram von Eschenbach. Une
49
es ; Le soldat allemand (lettres de guerre) ; et
quatre
romans (dont un sur la guerre, et un sur le Moyen Âge allemand). Les
50
, « germain », « nordique », reviennent donc dans
13
titres. Et la moitié des autres, au moins, évoquent de la façon la pl
51
ans le IIIe Reich », Les Nouveaux Cahiers, Paris,
15
décembre 1937, p. 16.
52
Reich », Les Nouveaux Cahiers, Paris, 15 décembre
1937,
p. 16.
53
Du danger de s’unir (
15
avril 1938)e Le ministère Blum a vécu l’espace d’une parenthèse ou
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Du danger de s’unir (15 avril
1938
)e Le ministère Blum a vécu l’espace d’une parenthèse ouverte par l
55
mation de l’unité germanique, faite et scellée en
deux
coups de poing, la France, un mois durant, s’est énervée à discourir
56
inistère qu’il renverse au Sénat. Et que font ces
trois
partis réunis dans le Front populaire ? Leurs gouvernements successif
57
xion. Il ne manque pas de Seiss-Inquart, dans les
deux
camps, pour appeler au secours les troupes adverses et les prier de v
58
ts. Programme de M. Daladier (selon le Journal du
10
avril) : exclusion des communistes ; non-intervention en Espagne ; ex
59
ation des usines. C’est tout. Il est vrai que ces
quatre
négations couvrent une implicite affirmation, qui est celle du réarme
60
de guerre et c’est Hitler qui sera bien attrapé !
Trois
dictatures menacent nos libertés démocratiques ? Eh bien ! cessons de
61
attaque, sous prétexte de mieux se défendre. Avec
vingt
ans de retard, Hitler vient de gagner la guerre à Vienne. Avec vingt
62
, Hitler vient de gagner la guerre à Vienne. Avec
vingt
ans d’avance sur Hitler, la France va-t-elle enfin gagner sa paix ? ⁂
63
danger de s’unir », Les Nouveaux Cahiers, Paris,
15
avril 1938, p. 21-22.
64
e s’unir », Les Nouveaux Cahiers, Paris, 15 avril
1938,
p. 21-22.
65
Vues sur le national-socialisme (
1er
juin 1938)f Les notes qui suivent sont extraites d’un « journal »
66
Vues sur le national-socialisme (1er juin
1938
)f Les notes qui suivent sont extraites d’un « journal » tenu en 19
67
i suivent sont extraites d’un « journal » tenu en
1935
et 1936 par l’auteur, alors chargé de cours dans une Université allem
68
t sont extraites d’un « journal » tenu en 1935 et
1936
par l’auteur, alors chargé de cours dans une Université allemande de
69
garder leur signification et leur actualité après
deux
ans. I. — À quoi pensent… Les bourgeois. — J’arrivais de Paris
70
signification et leur actualité après deux ans.
I
. — À quoi pensent… Les bourgeois. — J’arrivais de Paris persuadé
71
énaturée, éliminée de l’éducation, persécutée par
mille
moyens sournois, méthodiquement. Mais si je les interroge sur leurs p
72
naturel, spontané. Un petit industriel. — Avant
1933,
sa vie était impossible : grèves, menaces de mort de la part des extr
73
ion sociale). Ça ne l’enchante pas. Je le revois
trois
semaines plus tard. — Ce camp ? — Eh bien voilà : nous étions dans un
74
ilà : nous étions dans une grande maison, logeant
deux
par deux dans des chambres confortables. J’avais pour compagnon un ou
75
s étions dans une grande maison, logeant deux par
deux
dans des chambres confortables. J’avais pour compagnon un ouvrier de
76
ieux. — Trop vieux, vous ? Quel âge avez-vous ? —
27
ans. Mais le Führer l’a bien dit, l’autre jour : les hommes qui avaie
77
it, l’autre jour : les hommes qui avaient plus de
vingt
ans en 1933 ne comprendront jamais les temps nouveaux. Il prépare pou
78
our : les hommes qui avaient plus de vingt ans en
1933
ne comprendront jamais les temps nouveaux. Il prépare pour le séminai
79
he, un compromis avec le régime détesté. (Note de
1938
: cet étudiant vient d’entrer dans le Parti.) Parents et enfants. —
80
amille possible, avec ce système. Tous les soirs,
deux
de mes enfants sur trois sont pris par le Parti. Ma fille aînée a 18
81
système. Tous les soirs, deux de mes enfants sur
trois
sont pris par le Parti. Ma fille aînée a 18 ans. Elle est Führerin d’
82
ur trois sont pris par le Parti. Ma fille aînée a
18
ans. Elle est Führerin d’un groupe de jeunes filles qu’elle doit comm
83
un groupe de jeunes filles qu’elle doit commander
deux
fois par semaine : gymnastique et culture politique. De plus, elle a
84
(c’est un contrôle), et même, c’est arrivé une ou
deux
fois, de régler des questions très délicates, enfants naturels, etc.,
85
tout. Si nous voulions empêcher notre fils, qui a
15
ans, de sortir un soir qu’il est un peu malade, par exemple, nous ris
86
ts. Eux, ils se sentent des militaires. » Plainte
vingt
fois entendue. Les enfants sont ravis, naturellement. Ils se sentent
87
a petite cuisine, où nous sommes attablés, depuis
deux
heures il me raconte ses bagarres avec les nazis, avant 1933, quand i
88
il me raconte ses bagarres avec les nazis, avant
1933,
quand il était en feldgrau (l’uniforme des communistes) et les autres
89
se sent trop vieux pour continuer la lutte, il a
50
ans. Se bagarrer encore ? Ils ne sont pas comme ça, les ouvriers alle
90
s, c’est un homme sincère, et c’est le seul… »
II
. — Le fait central J’en étais là de mes étonnements. Je collection
91
C’est alors que se produisit le coup d’audace du
7
mars, l’occupation de la Rhénanie par la Reichswehr. Deux jours plus
92
s, l’occupation de la Rhénanie par la Reichswehr.
Deux
jours plus tard, des affiches rouges annonçaient pour le surlendemain
93
places. On installait des haut-parleurs tous les
cent
mètres le long des avenues. Et le tambour se mit à battre — deux coup
94
long des avenues. Et le tambour se mit à battre —
deux
coups lents, trois coups rapprochés — on l’entendait encore au milieu
95
Et le tambour se mit à battre — deux coups lents,
trois
coups rapprochés — on l’entendait encore au milieu de la nuit. Je rep
96
re au milieu de la nuit. Je reprends mes notes du
11
mars 1936. Une cérémonie sacrée. — Trois heures de l’après-midi, da
97
lieu de la nuit. Je reprends mes notes du 11 mars
1936.
Une cérémonie sacrée. — Trois heures de l’après-midi, dans un café
98
notes du 11 mars 1936. Une cérémonie sacrée. —
Trois
heures de l’après-midi, dans un café près de l’Opéra. Je dis à mon co
99
a. Je dis à mon compagnon, le dramaturge allemand
L.
: — Vous y croyez, vous, à l’âme collective ? Est-ce que ce n’est pas
100
rriés par les mouvements mécaniques d’une foule ?
L.
hoche la tête : — Allez écouter le Führer, nous en reparlerons demain
101
allez-y tout de suite, car les portes s’ouvrent à
5
heures. — Mais il n’est annoncé que pour 9 heures. — Venez voir ! Du
102
rent à 5 heures. — Mais il n’est annoncé que pour
9
heures. — Venez voir ! Du seuil du café, l’on aperçoit toute la place
103
afé, l’on aperçoit toute la place de l’Opéra. Des
milliers
de SA et de SS y sont déjà rangés, immobiles. Le Führer viendra au ba
104
rangés, immobiles. Le Führer viendra au balcon à
11
heures. D’ici là, ces hommes ne bougeront pas. Je me perds dans des l
105
le matin — et je ne puis franchir les portes qu’à
5
heures 10. Comment fait-on pour occuper en dix minutes 30 000 places
106
— et je ne puis franchir les portes qu’à 5 heures
10.
Comment fait-on pour occuper en dix minutes 30 000 places assises ? J
107
qu’à 5 heures 10. Comment fait-on pour occuper en
dix
minutes 30 000 places assises ? Je me glisse dans des rangs compacts
108
s 10. Comment fait-on pour occuper en dix minutes
30
000 places assises ? Je me glisse dans des rangs compacts derrière le
109
0. Comment fait-on pour occuper en dix minutes 30
000
places assises ? Je me glisse dans des rangs compacts derrière les ba
110
s annonçaient un appel général du Parti, dans les
45
salles de la ville, pour la même heure. Avec tout ce que les trains s
111
x ont déversé depuis la veille dans cette cité de
700
000 habitants, et les autocars, et l’afflux des campagnards venus à p
112
t déversé depuis la veille dans cette cité de 700
000
habitants, et les autocars, et l’afflux des campagnards venus à pied,
113
afflux des campagnards venus à pied, il y aura un
million
d’auditeurs immédiats. Quelques femmes s’évanouissent, on les emporte
114
orte, et cela fait un peu de place pour respirer.
Sept
heures. Personne ne s’impatiente, ni ne parle. Huit heures. Les digni
115
pt heures. Personne ne s’impatiente, ni ne parle.
Huit
heures. Les dignitaires du Reich apparaissent, annoncés par les clame
116
t, malaxé et soutenu par la foule, depuis bientôt
quatre
fois soixante minutes. Est-ce que cela vaut la peine ? Mais voici une
117
soutenu par la foule, depuis bientôt quatre fois
soixante
minutes. Est-ce que cela vaut la peine ? Mais voici une rumeur de mar
118
it homme en brun, tête nue, au sourire extatique.
Quarante
mille hommes, quarante mille bras se sont levés d’un coup. L’homme av
119
en brun, tête nue, au sourire extatique. Quarante
mille
hommes, quarante mille bras se sont levés d’un coup. L’homme avance t
120
nue, au sourire extatique. Quarante mille hommes,
quarante
mille bras se sont levés d’un coup. L’homme avance très lentement, sa
121
ourire extatique. Quarante mille hommes, quarante
mille
bras se sont levés d’un coup. L’homme avance très lentement, saluant
122
g de la passerelle qui mène à la tribune. Pendant
six
minutes, c’est très long. Personne ne peut remarquer que j’ai les mai
123
endus. Je suis seul et ils sont tous ensemble.
III
. — Une religion nouvelle Si l’on n’a pas senti cela, on ne compren
124
forces relatives des partis et des classes avant
1933,
les circonstances politiques de l’Europe, le traité de Versailles, la
125
votre fille est muette. Les mêmes théoriciens, en
1932,
vous démontraient, le Capital en main, que la situation allemande con
126
cet article a reçu récemment d’Allemagne (janvier
1938
) une lettre qui résume tout ceci. Elle est d’un jeune national-social
127
a rue. Il fait régner la paix sociale. Il y avait
six
millions de chômeurs en 1933, tandis qu’on manque de main-d’œuvre en
128
e. Il fait régner la paix sociale. Il y avait six
millions
de chômeurs en 1933, tandis qu’on manque de main-d’œuvre en 1938. La
129
x sociale. Il y avait six millions de chômeurs en
1933,
tandis qu’on manque de main-d’œuvre en 1938. La dignité de la nation
130
s en 1933, tandis qu’on manque de main-d’œuvre en
1938.
La dignité de la nation est rétablie. L’autorité est restaurée. « Et
131
euve du diagnostic que l’on vient d’esquisser.
IV
. — Perspectives À Berlin, les milieux qui se disent bien informés
132
la chute du régime pour le mois suivant, — depuis
cinq
ans. Or, chaque mois apporte, régulièrement, une extension précise de
133
éussisse, on se trouverait encore en arrière : de
deux
grands pays également surarmés, c’est celui qui dispose de la plus fo
134
le, et quelques restes de traditions civiques.
3.
Pour le semestre d’été, je fus autorisé à choisir comme sujet de cour
135
tional-socialisme », Les Nouveaux Cahiers, Paris,
1
juin 1938, p. 5-10.
136
socialisme », Les Nouveaux Cahiers, Paris, 1 juin
1938,
p. 5-10.
137
Faire le jeu d’Hitler (
1er
janvier 1939)g Au cours de l’été dernier, et devant la menace hitl
138
Faire le jeu d’Hitler (1er janvier
1939
)g Au cours de l’été dernier, et devant la menace hitlérienne, un é
139
rante de l’enfance. J’interdis à mon fils, âgé de
trois
, ans, de s’approcher du feu. Il s’en approche, naturellement. Je lui
140
s, bien sûr. J’en citerais d’assez éclatantes des
deux
côtés.) ⁂ Si l’on veut conserver un sens à l’expression « faire le je
141
uer ses forces et ses faiblesses « objectivement »
4.
Si vous me retirez cette arme, vous me transformez en un fasciste hon
142
parce qu’ils ont une ascendance koulak. Tous les
deux
persécutent les chrétiens. Tous les deux privent le citoyen de ses li
143
Tous les deux persécutent les chrétiens. Tous les
deux
privent le citoyen de ses libertés, etc. Le communiste me refuse le d
144
pas une pointe, mais une conclusion réfléchie.
4.
Refuser de discuter Hitler, c’est le « tabouer », le considérer comme
145
e le jeu d’Hitler », Les Nouveaux Cahiers, Paris,
1
janvier 1939, p. 14-15.
146
’Hitler », Les Nouveaux Cahiers, Paris, 1 janvier
1939,
p. 14-15.