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out d’abord que par l’auteur qui l’imposera. Tout
acte
créateur de l’esprit — et c’est l’esprit seul qui crée — est une « tr
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lors : d’où le malaise que crée naturellement cet
acte
, malaise qui est à l’origine de l’état d’esprit conservateur que nous
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ivions tout à l’heure. D’où aussi le risque que l’
acte
institue pour celui qui l’ose. Mais c’est précisément ce sentiment de
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révolution est toujours spirituelle : elle est l’
acte
de l’homme qui rejette ses vieilles commodités, qui violente ses habi
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analyser la valeur ambiguë de « violence » dans l’
acte
du viol, qui paraît une brutalité. Mais cela nous entraînerait assez