1 is : « Tu sais que je te l’ai dé­fendu, tu vas te brûler . — Non, dit-il, ça ne brûle pas. — Mon petit, tu vas te brûler ! — Vi

2 dé­fendu, tu vas te brûler. — Non, dit-il, ça ne brûle pas. — Mon petit, tu vas te brûler ! — Vilain papa, tu es très méchan

3 , dit-il, ça ne brûle pas. — Mon petit, tu vas te brûler  ! — Vilain papa, tu es très méchant ! » C’est mon dialogue avec certa

4 prétend-il, contre toute évidence, que le feu ne brûle pas ? C’est parce qu’il n’ose ni ne peut dire : j’ai envie de toucher

5 i envie de toucher le feu bien que je sache qu’il brûle . Cette contradiction insurmontable se résout pratiquement par un mens

6 se résout pratiquement par un mensonge (le feu ne brûle pas), et par un transfert de la « méchanceté » du feu sur celui qui e