1 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
1 u’ils interdisent en tant que ministres. Le Parti communiste fait crier : « À bas Blum ! » au Vélodrome d’Hiver, et le lendemain,
2 lendemain, fait publier par Ce Soir : « Les élus communistes exigent que Blum reste au pouvoir ! » Le Parti radical, à la Chambre,
3 er (selon le Journal du 10 avril) : exclusion des communistes  ; non-intervention en Espagne ; expulsion des indésirables ; évacuati
2 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
4 rté même des jeunes, voilà le totalitarisme. Un communiste . — Dans sa petite cuisine, où nous sommes attablés, depuis deux heure
5 1933, quand il était en feldgrau (l’uniforme des communistes ) et les autres en brun. C’est un dur. Chômeur depuis sept ans. Ancien
6 n, que la situation allemande conduisait droit au communisme . Ce qui m’effraye, c’est leur souplesse dans l’erreur. Il a fallu si
7 autorité est restaurée. « Et nous voici sauvés du communisme . » C’est ainsi que beaucoup de braves gens croient trouver un terrain
3 1939, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Faire le jeu d’Hitler (1er janvier 1939)
8 lini fait le jeu d’Hitler en l’appuyant, mais les communistes le font en poussant à la guerre, M. Flandin fait le jeu d’Hitler en l
9 e fasciste glorieux. ⁂ Je conçois très bien qu’un communiste n’admette point que je décrive le régime nazi tel qu’il est. Car s’il
10 deux privent le citoyen de ses libertés, etc. Le communiste me refuse le droit d’être objectif parce que, en l’étant, je démasque