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t des trois fascismes le démontre avec éclat : la
crainte
de la violence suscite mécaniquement une brutalité qui, à son tour, n
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nse le voisin trahit sans doute, à l’origine, une
crainte
obscure qu’on a de lui ; révèle ensuite que l’on nourrit soi-même à s
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sité est vide de sens, s’il ne recouvre pas cette
crainte
ou cette entreprise projetée, ou encore les deux à la fois. En dépit
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nt et qu’on juge très vulgaire.) Partout, la même
crainte
paralyse en germe tout essai de résister : si ce n’étaient pas les br