1 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
1 tte vérité fondamentale : que les institutions ne durent qu’à force d’être recréées, réinventées, reprises sans relâche à la b
2 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
2 elconque, c’est l’opération nécessaire à laquelle doivent se livrer tous ceux qui sont soucieux, en politique ou en économie, d
3 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
3 citoyen, tandis que le second ne parle que de ses devoirs . Serais-je déjà contaminé par l’optimisme de commande en ce pays ? J
4 La paix sociale a été obtenue par la fixation des devoirs réciproques à un niveau de justice fort médiocre, mais stable. — En s
5 peu les épaules, fait oui de la tête. Demain, il doit partir pour un Schulungslager (camp d’éducation sociale). Ça ne l’enc
6 est Führerin d’un groupe de jeunes filles qu’elle doit commander deux fois par semaine : gymnastique et culture politique. D
7 e ni ses souffrances secrètes ni son espoir. « Il doit y avoir une clé », écrivais-je à ce moment. C’est alors que se produi
8 de. Ce que j’éprouve maintenant, c’est cela qu’on doit appeler l’horreur sacrée. Je me croyais à un meeting de masses, à que
9 t celui qui dispose de la plus forte mystique qui doit fatalement triompher. Et en s’armant autant que l’État totalitaire, l
4 1939, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Faire le jeu d’Hitler (1er janvier 1939)
10 it à ce sujet (dans un langage qui, selon lui, ne devait point permettre d’équivoque) : « Un général qui étudie le terrain de
11 a part le droit de discuter, et j’en fais même un devoir civique. Si vous me le contestez, je vous jugerai là-dessus. Sur cett