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ticuliers. Toute collaboration créatrice implique
donc
une certaine violence. Autrement, il ne s’agirait que d’un assemblage
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nformations, dans l’indifférence générale. Il y a
donc
, me semble-t-il, un intérêt urgent pour le groupe des Nouveaux Cahier
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s de l’homme dans le cadre de la nation. Essayons
donc
de définir le mot « violence », c’est-à-dire de décrire son contenu a
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(Préservé contre les mutations brusques.) Elle a
donc
tout avantage à nier ou à dissimuler les antagonismes qu’elle domine
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est le fait d’une contrainte purement extérieure,
donc
incapable en soi de rien créer et animer. C’est la brimade, la vexati
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quoi que ce soit de « ce qu’ils disent », il faut
donc
bien se résoudre à de grossières approximations. Le danger serait alo
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votre pièce, non la substance de sa vie. Il faut
donc
éviter tout ce qui ressemblerait à une enquête : d’abord à cause du m
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apprises nécessairement inadéquates. Mais laissez
donc
parler les gens longtemps, souvent, à bâtons rompus, et sur n’importe
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nt la pêche. J’avais ajouté deux ou trois jambes,
donc
, mais moi je n’en mange pas. Tantôt, ils s’en vont à leur ouvrage, mo
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e l’État (Hitler, Goebbels et Rosenberg). Il peut
donc
être intéressant de se reporter maintenant à un organe qui s’efforce
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allemand », « germain », « nordique », reviennent
donc
dans 13 titres. Et la moitié des autres, au moins, évoquent de la faç
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cation. Dans la mesure où on la voudra, on voudra
donc
la force brutale. On voudra donc la fin des libertés françaises. Et p
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oudra, on voudra donc la force brutale. On voudra
donc
la fin des libertés françaises. Et pour sauver la France, on perdra l
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e est aussi vieux que les Allemagnes ; il ne peut
donc
rien expliquer de ce qui s’y passe de tout nouveau. Un régime totalit
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dable appel des peuples vers un principe d’union,
donc
vers une religion, que les dictateurs ont su répondre. Tout le reste
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il y puise sa force de cohésion. Quelle que soit
donc
la volonté consciente et avouée du Führer et du peuple, il n’y a pas
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que l’aventure puisse bien finir. Tout se ramène
donc
, pour nous, à un problème de force. Mais non pas de forces pour « gag
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ne peut sortir qu’un État totalitaire. Il s’agit
donc
d’empêcher cette guerre, de se montrer assez forts pour l’empêcher, e
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aître la nature de l’attaque qui se préparait, et
donc
la force autant que la faiblesse de l’adversaire. Il écrivait à ce su
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it mieux de s’occuper de politique. » Il montrait
donc
, « objectivement », ce qu’il y a de bon et ce qu’il y a de mauvais da
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réalité qu’il m’interdit d’examiner. Je prétends
donc
que les antifascistes « aveugles » sont des totalitaires qui s’ignore
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a réalité est très complexe, et qu’elle introduit
donc
la nécessité de distinguer avant de juger ; c’est-à-dire la nécessité
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our ce que leur passion veut qu’il soit. Ils sont
donc
contraints de jeter la suspicion sur l’écrivain « objectif » qui leur
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it par le refus de reconnaître les faits gênants (
donc
de discuter objectivement) et par la passion de condamner à priori de