1 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
1 ute l’équivoque de la situation : on a coutume, à droite et au centre, de vilipender le marxisme en le traitant de « doctrine
2 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
2 clame la liberté, des libertés, et s’en réclame à droite et à gauche, à Moscou aussi bien qu’à Berlin. Mais ce n’est plus que
3 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
3 vidence, en excluait la possibilité. Car quand la droite propose l’union à condition que la gauche renonce à ses réformes, et
4 uand la gauche propose l’union à condition que la droite adopte son programme, c’est que, de part et d’autre, on est très ferm
5 vention se prend décidément très vite. Quant à la droite , on renonce à résumer son jeu ; sans doute n’en sait-elle plus elle-m
6 mise au pas. Il ne manque pas d’intellectuels de droite et de gauche pour proclamer qu’en présence du danger, l’exercice de l
4 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
7 s persuadé que l’hitlérisme est un mouvement « de droite  », une dernière tentative pour sauver le capitalisme et les privilège
5 1939, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Faire le jeu d’Hitler (1er janvier 1939)
8 es hommes de gauche, d’une part, et les hommes de droite d’autre part, acceptaient de voir l’Allemagne telle qu’elle est, ils
9 rop complexes à examiner ici, il se trouve que la droite jouit en France, provisoirement et comme par accident, d’une plus gra