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ute l’équivoque de la situation : on a coutume, à
droite
et au centre, de vilipender le marxisme en le traitant de « doctrine
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clame la liberté, des libertés, et s’en réclame à
droite
et à gauche, à Moscou aussi bien qu’à Berlin. Mais ce n’est plus que
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vidence, en excluait la possibilité. Car quand la
droite
propose l’union à condition que la gauche renonce à ses réformes, et
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uand la gauche propose l’union à condition que la
droite
adopte son programme, c’est que, de part et d’autre, on est très ferm
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vention se prend décidément très vite. Quant à la
droite
, on renonce à résumer son jeu ; sans doute n’en sait-elle plus elle-m
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mise au pas. Il ne manque pas d’intellectuels de
droite
et de gauche pour proclamer qu’en présence du danger, l’exercice de l
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s persuadé que l’hitlérisme est un mouvement « de
droite
», une dernière tentative pour sauver le capitalisme et les privilège
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es hommes de gauche, d’une part, et les hommes de
droite
d’autre part, acceptaient de voir l’Allemagne telle qu’elle est, ils
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rop complexes à examiner ici, il se trouve que la
droite
jouit en France, provisoirement et comme par accident, d’une plus gra