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une certaine conception de la vie. C’est ainsi —
entre
autres — que le « pouvoir des mots » est réel. Peut-être dira-t-on qu
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nant essayer de préciser une distinction radicale
entre
violence et brutalité, — avec l’espoir de sauver le mot « violence »
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ret, plus on constate l’absence de commune mesure
entre
son langage et celui des journaux et des politiciens, ou des intellec
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ours être attribuée au parti pris de l’enquêteur.
Entre
ces deux écueils, le Charybde de l’incohérence et le Scylla du trop p
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al. Il faut essayer de se maintenir à mi-distance
entre
les bizarreries individuelles et les lieux communs éculés, à mi-dista
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uelles et les lieux communs éculés, à mi-distance
entre
le pittoresque et la statistique, à ce niveau où le langage est suffi
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œurs. Seulement, il y a cette différence profonde
entre
le jacobinisme et le national-socialisme : c’est que le premier parla
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tant la discussion des faits. Dès lors, le départ
entre
« totalitaires » (conscients ou non) et véritables non-fascistes devi
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e, à très peu de choses près, avec la distinction
entre
ceux qui préconisent la bêtise comme méthode d’action, et ceux qui pr