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ans les « démocraties de l’Ouest » — comme dit le
Führer
— et qui consiste à biaiser avec les difficultés, à masquer les antag
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e attend de la France, en vérité, ce n’est pas un
Führer
de plus, mais au contraire, c’est la solution des problèmes que d’aut
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oudre, ont essayé de supprimer en se donnant à un
Führer
. Ce que le monde attend de la France, c’est une audace libératrice. L
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ibre, mais tout marche. Plus de discussions. Le «
Führer
d’entreprise » n’a pas le droit de renvoyer ses ouvriers, mais ceux-c
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ux, vous ? Quel âge avez-vous ? — 27 ans. Mais le
Führer
l’a bien dit, l’autre jour : les hommes qui avaient plus de vingt ans
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es rouges annonçaient pour le surlendemain : « Le
Führer
parle ! » On plantait des mâts sur les places. On installait des haut
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une foule ? L. hoche la tête : — Allez écouter le
Führer
, nous en reparlerons demain. Seulement allez-y tout de suite, car les
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de SA et de SS y sont déjà rangés, immobiles. Le
Führer
viendra au balcon à 11 heures. D’ici là, ces hommes ne bougeront pas.
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et légal, qui a jeté l’Autriche dans les bras du
Führer
. Mais c’est l’attraction passionnée qu’exerce une religion naissante,
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ulièrement, une extension précise des pouvoirs du
Führer
, une consolidation de son prestige. On ne voit aucune raison pour qu’
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que soit donc la volonté consciente et avouée du
Führer
et du peuple, il n’y a pas de raison de penser que l’aventure puisse