1 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
1 ans les « démocraties de l’Ouest » — comme dit le Führer — et qui consiste à biaiser avec les difficultés, à masquer les antag
2 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
2 e attend de la France, en vérité, ce n’est pas un Führer de plus, mais au contraire, c’est la solution des problèmes que d’aut
3 oudre, ont essayé de supprimer en se donnant à un Führer . Ce que le monde attend de la France, c’est une audace libératrice. L
3 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
4 ibre, mais tout marche. Plus de discussions. Le «  Führer d’entreprise » n’a pas le droit de renvoyer ses ouvriers, mais ceux-c
5 ux, vous ? Quel âge avez-vous ? — 27 ans. Mais le Führer l’a bien dit, l’autre jour : les hommes qui avaient plus de vingt ans
6 es rouges annonçaient pour le surlendemain : « Le Führer parle ! » On plantait des mâts sur les places. On installait des haut
7 une foule ? L. hoche la tête : — Allez écouter le Führer , nous en reparlerons demain. Seulement allez-y tout de suite, car les
8 de SA et de SS y sont déjà rangés, immobiles. Le Führer viendra au balcon à 11 heures. D’ici là, ces hommes ne bougeront pas.
9 et légal, qui a jeté l’Autriche dans les bras du Führer . Mais c’est l’attraction passionnée qu’exerce une religion naissante,
10 ulièrement, une extension précise des pouvoirs du Führer , une consolidation de son prestige. On ne voit aucune raison pour qu’
11 que soit donc la volonté consciente et avouée du Führer et du peuple, il n’y a pas de raison de penser que l’aventure puisse