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ue rien ne change vraiment) ; il faut « sauver la
face
» (c’est-à-dire les situations acquises). D’où cette espèce d’optimis
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hluss et fermée par le plébiscite grand-allemand.
Face
à l’affirmation de l’unité germanique, faite et scellée en deux coups
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au sourire extasié, et des larmes coulent sur les
faces
, dans l’ombre. Et soudain tout s’apaise. Il a étendu le bras énergiqu