1
erté, des libertés, et s’en réclame à droite et à
gauche
, à Moscou aussi bien qu’à Berlin. Mais ce n’est plus que par l’intona
2
uand la droite propose l’union à condition que la
gauche
renonce à ses réformes, et quand la gauche propose l’union à conditio
3
que la gauche renonce à ses réformes, et quand la
gauche
propose l’union à condition que la droite adopte son programme, c’est
4
oster au coup d’Hitler n’amène les droites et les
gauches
en même temps à ne plus concevoir leur union que sous la forme d’un A
5
Il ne manque pas d’intellectuels de droite et de
gauche
pour proclamer qu’en présence du danger, l’exercice de la pensée libr
6
pe, le traité de Versailles, la décomposition des
gauches
, le double jeu du grand capital soutenant Hitler contre les marxistes
7
sont très loin de leurs alliés.) Si les hommes de
gauche
, d’une part, et les hommes de droite d’autre part, acceptaient de voi
8
voit traité d’hitlérien par certains critiques de
gauche
, mais non pas de bolchévique par les droites. Pour des raisons trop c
9
cident, d’une plus grande liberté d’esprit que la
gauche
. (À de nombreuses exceptions près, bien sûr. J’en citerais d’assez éc