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oration créatrice suppose un but nouveau, que des
hommes
auparavant antagonistes (c’est-à-dire dont les intérêts et les dessei
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commune mesure » pour les diverses activités de l’
homme
dans le cadre de la nation. Essayons donc de définir le mot « violenc
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t d’ailleurs injuste à ceux qui la subissent). Un
homme
violent, c’est une espèce de brute qui refuse de discuter, de donner
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onde d’ailleurs dans une tendance permanente de l’
homme
; le besoin de sécurité. Mais ce besoin s’est exagérément développé,
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d avec la liberté. C’est elle seule qui délivre l’
homme
de la chaîne des routines et des lois qu’il se forge, c’est elle seul
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n est toujours spirituelle : elle est l’acte de l’
homme
qui rejette ses vieilles commodités, qui violente ses habitudes deven
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arences, mais que « comprendre » les paroles d’un
homme
suppose une science presque surhumaine. Pour conclure quoi que ce soi
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lus que par l’intonation, l’élan, la mimique de l’
homme
qui émet ce vocable usé, ou par l’emploi imprévu qu’il en fait dans l
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ravail, et les Russes sont les plus paresseux des
hommes
; Mussolini une religion de l’Empire, et c’est à peine si les Italien
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aï Hartmann : la volonté, le réel, l’orgueil de l’
homme
… Le régime le dégoûte et le repousse. C’est la dictature des butors e
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. Mais le Führer l’a bien dit, l’autre jour : les
hommes
qui avaient plus de vingt ans en 1933 ne comprendront jamais les temp
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r lui ! » Et il répète : « Lui au moins, c’est un
homme
sincère, et c’est le seul… » II. — Le fait central J’en étais l
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hrer viendra au balcon à 11 heures. D’ici là, ces
hommes
ne bougeront pas. Je me perds dans des labyrinthes de barrages jusqu’
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projecteur fait apparaître sur le seuil un petit
homme
en brun, tête nue, au sourire extatique. Quarante mille hommes, quara
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n, tête nue, au sourire extatique. Quarante mille
hommes
, quarante mille bras se sont levés d’un coup. L’homme avance très len
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s, quarante mille bras se sont levés d’un coup. L’
homme
avance très lentement, saluant d’un geste lent, épiscopal, sous un to
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es chefs et les troupes veuillent la guerre ! Les
hommes
ne sont pas si méchants, ni même si bêtes. Mais ce qu’il faut voir, c
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Mais ce qu’il faut voir, c’est que la volonté des
hommes
n’a jamais pesé si peu que dans les régimes totalitaires. Ce n’est pa
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» et « divisées ». Il faut créer une « religion d’
hommes
sans Dieu », disait Naigeon, une « foi concrète et patriotique », dis
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lus simple. Comment se peut-il, en général, qu’un
homme
refuse de voir ce qui est ? Et en particulier : comment se peut-il qu
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ouable. Dans un monde comme le nôtre, où si peu d’
hommes
connaissent leur vraie croyance et leurs vrais désirs, il est fatal q
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: qu’ils sont très loin de leurs alliés.) Si les
hommes
de gauche, d’une part, et les hommes de droite d’autre part, acceptai
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iés.) Si les hommes de gauche, d’une part, et les
hommes
de droite d’autre part, acceptaient de voir l’Allemagne telle qu’elle
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(Je néglige ici les prétextes.) L’un massacre des
hommes
parce qu’ils ont une ascendance juive, l’autre parce qu’ils ont une a