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tant pour « l’action » que la définition des mots
qui
la désignent, ou qui la trahissent ; qui en assurent la signification
2
» que la définition des mots qui la désignent, ou
qui
la trahissent ; qui en assurent la signification et l’efficacité, ou
3
des mots qui la désignent, ou qui la trahissent ;
qui
en assurent la signification et l’efficacité, ou qui faussent cette s
4
en assurent la signification et l’efficacité, ou
qui
faussent cette signification et masquent une inefficacité réelle. Tou
5
éfinis, souvent contraires aux usages anciens, et
qui
paraissent « anarchiques » ou « faux » selon le système de référence
6
iques » ou « faux » selon le système de référence
qui
est en train de se constituer dans divers groupes. Les mots que nous
7
(toute attaque apparaît d’ailleurs injuste à ceux
qui
la subissent). Un homme violent, c’est une espèce de brute qui refuse
8
ent). Un homme violent, c’est une espèce de brute
qui
refuse de discuter, de donner ses raisons, et qui frappe du poing sur
9
qui refuse de discuter, de donner ses raisons, et
qui
frappe du poing sur la table. Ainsi violence ne se confond pas seulem
10
issement de la bourgeoisie au pouvoir. Conception
qui
se fonde d’ailleurs dans une tendance permanente de l’homme ; le beso
11
cquises). D’où cette espèce d’optimisme désarmant
qui
se manifeste dans des expressions telles que : « Cela ne peut pas êtr
12
base… Ayant peur de la chose, on rabaisse le mot
qui
la désigne : c’est une espèce de conjuration magique. Nous retrouvons
13
sens le plus péjoratif. J’en donnerai un exemple
qui
fait bien voir toute l’équivoque de la situation : on a coutume, à dr
14
essité n’est sentie tout d’abord que par l’auteur
qui
l’imposera. Tout acte créateur de l’esprit — et c’est l’esprit seul q
15
cte créateur de l’esprit — et c’est l’esprit seul
qui
crée — est une « transgression » des lois admises jusqu’alors : d’où
16
malaise que crée naturellement cet acte, malaise
qui
est à l’origine de l’état d’esprit conservateur que nous décrivions t
17
où aussi le risque que l’acte institue pour celui
qui
l’ose. Mais c’est précisément ce sentiment de malaise, lié à l’euphor
18
t de malaise, lié à l’euphorie du risque encouru,
qui
est le signe normal d’une création de l’esprit humain. Les époques de
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adissement et une trahison certaine de l’Évangile
qui
ont conduit les chrétiens moyens à insister uniquement sur la douceur
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encore, c’est l’influence de la morale bourgeoise
qui
a fait perdre sa vigueur au christianisme, et non l’inverse, comme le
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elle se confond avec la liberté. C’est elle seule
qui
délivre l’homme de la chaîne des routines et des lois qu’il se forge,
22
ines et des lois qu’il se forge, c’est elle seule
qui
l’empêche de se laisser emprisonner dans ses propres institutions, lo
23
toujours spirituelle : elle est l’acte de l’homme
qui
rejette ses vieilles commodités, qui violente ses habitudes devenues
24
e de l’homme qui rejette ses vieilles commodités,
qui
violente ses habitudes devenues tyrannies, et qui crée des possibles
25
qui violente ses habitudes devenues tyrannies, et
qui
crée des possibles nouveaux. La révolution ainsi comprise est aussi i
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re ! Tout ceci n’apparaîtrait paradoxal qu’à ceux
qui
n’auraient pas su distinguer la vraie violence de la brutalité, du si
27
et animer. C’est la brimade, la vexation, le choc
qui
blesse sans régénérer, la suppression inutile et absurde, l’interdict
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la suppression inutile et absurde, l’interdiction
qui
offense la vitalité, qui nie la signification profonde de toute exist
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absurde, l’interdiction qui offense la vitalité,
qui
nie la signification profonde de toute existence. C’est tout d’abord
30
’abord un processus matériel grossier et brusque,
qui
se produit comme au hasard, sans discernement, sans « signification »
31
actère de contrainte externe, comme mécanique, et
qui
ne tient pas compte de la nature spirituelle, passionnelle ou vitale
32
ant que la vraie violence, inventive et imprévue,
qui
viendrait déranger ses constructions à la fois matérielles et abstrai
33
mûrir et les résout en créations. Mais la méthode
qui
règne actuellement dans les « démocraties de l’Ouest » — comme dit le
34
mocraties de l’Ouest » — comme dit le Führer — et
qui
consiste à biaiser avec les difficultés, à masquer les antagonismes d
35
ce de « combines » et de compromis, cette méthode
qui
ne crée rien, n’ordonne rien, temporise indéfiniment, ne peut conduir
36
e la violence suscite mécaniquement une brutalité
qui
, à son tour, ne peut pas supporter la vraie violence. Le libéralisme
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de la valeur libératrice de la violence. Que ceux
qui
pensent qu’il est déjà trop tard sachent qu’ils sont par là même les
38
me les premiers à rendre le tyran fatal. 1. Ce
qui
a pu faire illusion, reconnaissons-le, c’est la théorie de la dictatu
39
a riposte nécessaire du socialisme au capitalisme
qui
voudrait prolonger son statut en s’appuyant sur des moyens brutaux. P
40
leur ambiguë de « violence » dans l’acte du viol,
qui
paraît une brutalité. Mais cela nous entraînerait assez loin. Notons
41
t, d’autre part, l’effémination de la bourgeoisie
qui
attend un dictateur comme la femelle s’offre au viol redouté. a. Ro
42
fondamentaux que sont la défense ou l’attaque, et
qui
apparaissent dans leur belle nudité lorsqu’un amant demande à l’autre
43
nécessaire à laquelle doivent se livrer tous ceux
qui
sont soucieux, en politique ou en économie, d’adapter l’offre à la de
44
e la politique. Un moyen de trouver des arguments
qui
portent, qui atteignent ; et de se refaire un langage qui soit réelle
45
e. Un moyen de trouver des arguments qui portent,
qui
atteignent ; et de se refaire un langage qui soit réellement entendu.
46
ent, qui atteignent ; et de se refaire un langage
qui
soit réellement entendu. Tout cela est assez évident, et justifie suf
47
is à lui donner une certaine consistance. Mais ce
qui
peut être vrai statistiquement ne l’est presque jamais dans le détail
48
tel à Saint-Jean du Gard, expliquait à sa voisine
qui
paraissait malade : — Tu demanderas bien un espécialiste, rappelle-to
49
substance de sa vie. Il faut donc éviter tout ce
qui
ressemblerait à une enquête : d’abord à cause du malentendu sur les m
50
vieille paysanne. Elle se plaint : c’est la jambe
qui
ne va plus ! D’où cela vient-il ? — C’est depuis qu’ils m’ont volé ma
51
la chèvre. Je n’imagine pas de question directe
qui
eût ainsi pu faire répondre à cette femme : « À quoi je pense avant t
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cette espèce d’absurdité, de décousu, est même ce
qui
garantit l’authenticité de la relation d’un entretien. Mais cela ne s
53
cela ne saurait satisfaire entièrement au dessein
qui
est celui de notre rubrique : pour agir, ou simplement pour se prépar
54
mas, les généralisations banales et tendancieuses
qui
sont les vices de toute enquête. La signification des propos recueill
55
deviennent aisément perceptibles : ce sont elles
qui
révèlent la vraie pensée du groupe. Nous en sommes là aujourd’hui : t
56
e par l’intonation, l’élan, la mimique de l’homme
qui
émet ce vocable usé, ou par l’emploi imprévu qu’il en fait dans le co
57
embre 1937)d J’ai sous les yeux deux documents
qui
n’ont rien de secret : un article de revue et un catalogue d’éditeur,
58
s allemands. Il existe d’autres maisons d’édition
qui
se spécialisent dans la littérature pure, et chez lesquelles on ne tr
59
intéressant de se reporter maintenant à un organe
qui
s’efforce de traduire fidèlement les désirs officiels du Parti : la r
60
t le monde n’a parlé que d’union, mais sur un ton
qui
, de toute évidence, en excluait la possibilité. Car quand la droite p
61
l’esprit partisan rend à l’union sacrée. Mais ce
qui
m’apparaît le plus dangereux dans cette affaire, ce n’est pas l’hypoc
62
tionaliste, elle soutient Franco, agent d’Hitler,
qui
est un ennemi, et elle attaque Thorez, agent de Staline, qui est un a
63
ennemi, et elle attaque Thorez, agent de Staline,
qui
est un allié. Cet ensemble de faits pose une alternative : ou bien to
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loir, et alors tout s’explique aisément. ⁂ Or, ce
qui
est le plus à redouter, ce n’est pas tant qu’on triche sous prétexte
65
ieusement, — à jouer le jeu de l’union sacrée. Ce
qui
est grave, ce qu’il faut redouter, c’est que le désir de riposter au
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pour estimer que leur programme d’union est celui
qui
supprime les problèmes au lieu d’essayer de les résoudre, et fait con
67
tre négations couvrent une implicite affirmation,
qui
est celle du réarmement à outrance, et même au-delà. Mais la presse n
68
ienne, décrétons l’état de guerre et c’est Hitler
qui
sera bien attrapé ! Trois dictatures menacent nos libertés démocratiq
69
j’en conclus que beaucoup y rêvent. C’est ce rêve
qui
peut tourner au cauchemar. Car seule la force brutale peut opérer une
70
a force brutale peut opérer une union de ce type,
qui
n’est qu’une unification. Dans la mesure où on la voudra, on voudra d
71
s plus : on perdra ses meilleures forces. L’union
qui
se fait par la force n’est pas l’union qui fait la force. Ou alors, c
72
’union qui se fait par la force n’est pas l’union
qui
fait la force. Ou alors, cessons de critiquer Hitler, Staline, Mussol
73
invention, non dans la marche en rangs. Un peuple
qui
accepte une dictature se décerne un certificat d’incapacité politique
74
dans l’Europe fascisée. On ne défend bien que ce
qui
vaut d’être défendu. Et la plus forte armée du monde n’est rien, si l
75
ant de nos luttes, une commune mesure spirituelle
qui
ne soit pas les armements, qui ne soit pas la défense nationale mais
76
mesure spirituelle qui ne soit pas les armements,
qui
ne soit pas la défense nationale mais d’abord l’idéal national. Il n’
77
national-socialisme (1er juin 1938)f Les notes
qui
suivent sont extraites d’un « journal » tenu en 1935 et 1936 par l’au
78
’Ouest. On a choisi parmi ces observations celles
qui
paraissent garder leur signification et leur actualité après deux ans
79
essai de résister : si ce n’étaient pas les bruns
qui
avaient le pouvoir, ce seraient les rouges. Ils n’imaginent pas d’aut
80
eux paradoxe, c’est le régime national-socialiste
qui
est en train de leur faire découvrir le fait social et les problèmes
81
recte d’une carence du sens civique, loi générale
qui
se vérifie dans tout pays totalitaire. D’autre part, le régime nouvea
82
Allemagnes ; il ne peut donc rien expliquer de ce
qui
s’y passe de tout nouveau. Un régime totalitaire n’exprime point tant
83
riens futurs, comme une école civique élémentaire
qui
aura donné au peuple allemand ce qui lui manquait pour désirer la vra
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élémentaire qui aura donné au peuple allemand ce
qui
lui manquait pour désirer la vraie démocratie. Et pour réaliser ses p
85
ratie. Et pour réaliser ses premières conditions,
qui
sont le sens vulgarisé de l’État et le sens du service social. Stalin
86
le Führer l’a bien dit, l’autre jour : les hommes
qui
avaient plus de vingt ans en 1933 ne comprendront jamais les temps no
87
avant tout. Si nous voulions empêcher notre fils,
qui
a 15 ans, de sortir un soir qu’il est un peu malade, par exemple, nou
88
Car la liberté, pour un adolescent, c’est tout ce
qui
ne dépend pas de la famille, fut-ce la plus dure discipline, pourvu q
89
nous ! Mais l’initiative qu’on exige, c’est celle
qui
sert l’État et qui est prévue par lui ; c’est celle que la tactique m
90
ative qu’on exige, c’est celle qui sert l’État et
qui
est prévue par lui ; c’est celle que la tactique moderne exige du sol
91
se : si tous l’abandonnent, tous ces gros cochons
qui
sont autour de lui (et il nomme les principaux chefs du régime) eh bi
92
ançais-moyen, comme s’ils ne sentaient rien de ce
qui
se vivait autour d’eux, comme s’ils ne sentaient pas ce je ne sais qu
93
entaient pas ce je ne sais quoi dans l’atmosphère
qui
faisait que toutes les descriptions « objectives » de nos journaliste
94
rrière les bancs. Je verrai très bien la tribune,
qui
se dresse au centre de l’ovale, comme une tour carrée, tendue de roug
95
il accueille l’hommage, le long de la passerelle
qui
mène à la tribune. Pendant six minutes, c’est très long. Personne ne
96
ur culte qu’ils célèbrent ! Et c’est une liturgie
qui
se déroule, la grande cérémonie sacrale d’une religion dont je ne sui
97
ie sacrale d’une religion dont je ne suis pas, et
qui
m’écrase et me repousse avec bien plus de puissance même physique, qu
98
tion allemande conduisait droit au communisme. Ce
qui
m’effraye, c’est leur souplesse dans l’erreur. Il a fallu si peu chan
99
soif d’une tyrannie, au sens politique et légal,
qui
a jeté l’Autriche dans les bras du Führer. Mais c’est l’attraction pa
100
est littérature, bavardage de théoriciens, ou ce
qui
est pire, de « réalistes ». L’auteur de cet article a reçu récemment
101
u récemment d’Allemagne (janvier 1938) une lettre
qui
résume tout ceci. Elle est d’un jeune national-socialiste qui, ayant
102
out ceci. Elle est d’un jeune national-socialiste
qui
, ayant lu par hasard un de ses livres, entreprend de réfuter les crit
103
e ses livres, entreprend de réfuter les critiques
qui
s’y trouvent formulées à l’endroit du régime hitlérien. Il explique t
104
né de la pauvreté et du malheur de son pays, — ce
qui
est très juste. Et il ajoute : Mais la pauvreté et le malheur ne peu
105
lque chose. Nous avons été reconnaissants à celui
qui
nous apportait cette possibilité de croire. Le christianisme, probabl
106
le (un arbre dont nous ne sommes que les feuilles
qui
tombent à chaque génération) et peut-être réussirons-nous à y croire.
107
vivre, volonté angoissée de croire à la première
qui
se présente — fût-elle aussi invraisemblable que « l’immortalité » d’
108
sie.) Mesurons maintenant la naïveté des libéraux
qui
tiennent fréquemment ce propos : « Tout n’est pas mal de ce qui se fa
109
réquemment ce propos : « Tout n’est pas mal de ce
qui
se fait là-bas. Il y a bien des choses à y prendre. » Certes, Hitler
110
sens. Ils me rappellent cette bonne vieille femme
qui
apportait pieusement son petit fagot au bûcher du supplice de Jean Hu
111
itaire de toute expression libre des antagonismes
qui
chez nous sont encore la réalité même du social ? Que la paix est obt
112
e tous les « intérêts » du monde ? Et qu’enfin ce
qui
importe au dictateur, ce n’est pas telle mesure en soi, mais au contr
113
r. IV. — Perspectives À Berlin, les milieux
qui
se disent bien informés prophétisent la chute du régime pour le mois
114
ns les régimes totalitaires. Ce n’est pas le chef
qui
commande, et ce ne sont pas les désirs conscients et avoués qui sont
115
et ce ne sont pas les désirs conscients et avoués
qui
sont puissants. Ce qui est puissant, ce qui commande tout, c’est le m
116
ésirs conscients et avoués qui sont puissants. Ce
qui
est puissant, ce qui commande tout, c’est le mécanisme de la dictatur
117
voués qui sont puissants. Ce qui est puissant, ce
qui
commande tout, c’est le mécanisme de la dictature totalitaire, c’est
118
ons », c’est un slogan de la propagande nazie, et
qui
déchaîne régulièrement l’enthousiasme des foules allemandes — pour le
119
de pacifistes. Cela n’a aucune importance. Car ce
qui
compte, c’est la Nation, et non pas les individus. Or la Nation, prat
120
mposer au pays une discipline équivalente à celle
qui
régit les Allemands. À supposer que l’on y réussisse, on se trouverai
121
deux grands pays également surarmés, c’est celui
qui
dispose de la plus forte mystique qui doit fatalement triompher. Et e
122
c’est celui qui dispose de la plus forte mystique
qui
doit fatalement triompher. Et en s’armant autant que l’État totalitai
123
aurer le sens civique décadent. Retrouver une foi
qui
ne soit pas cette volonté anxieuse de croire à la Nation… Le seul pro
124
goisse des individus isolés, et l’appel religieux
qui
naît de cette angoisse — même s’il est encore inconscient. Toute la q
125
portait de faire connaître la nature de l’attaque
qui
se préparait, et donc la force autant que la faiblesse de l’adversair
126
versaire. Il écrivait à ce sujet (dans un langage
qui
, selon lui, ne devait point permettre d’équivoque) : « Un général qui
127
evait point permettre d’équivoque) : « Un général
qui
étudie le terrain de sa bataille décisive n’est pas précisément ce qu
128
ance « objective » des faits en discussion, voilà
qui
, semble-t-il, ne souffre pas le doute un seul instant. Mais que cette
129
plus que méconnue, contestée avec passion, voilà
qui
mérite l’examen. Posons la question sous sa forme la plus simple. Com
130
eut-il, en général, qu’un homme refuse de voir ce
qui
est ? Et en particulier : comment se peut-il que, délibérément, un pu
131
mment se peut-il que, délibérément, un publiciste
qui
entend juger l’Allemagne, commence par récuser les témoins « objectif
132
fascistes » dès que j’essaie de les avertir de ce
qui
se passe en Allemagne. Je leur expose des faits « bons » ou « mauvais
133
n transfert de la « méchanceté » du feu sur celui
qui
en avertit. Refuser de reconnaître les faits (mensonge) et accuser ce
134
reconnaître les faits (mensonge) et accuser celui
qui
les décrit d’être complice de leur menace (transfert), tel est le méc
135
menace (transfert), tel est le mécanisme régulier
qui
trahit la présence d’une passion inavouable. Dans un monde comme le n
136
j’appellerai le chantage à la tendance. Chantage
qui
consiste à dire : si vous prétendez rester objectif en présence de te
137
antifascistes « aveugles » sont des totalitaires
qui
s’ignorent. ⁂ Quelle est, en effet, la caractéristique de toute menta
138
cte publique les « individus », c’est-à-dire ceux
qui
discutent ; ceux qui, sans être même des opposants, ne manifestent pa
139
dividus », c’est-à-dire ceux qui discutent ; ceux
qui
, sans être même des opposants, ne manifestent pas une volonté de soum
140
rer capables d’un jugement personnel. Puis : ceux
qui
n’ont pas donné assez de preuves du contraire. Et finalement, tous ce
141
de preuves du contraire. Et finalement, tous ceux
qui
se « distinguent » par quelque trait marqué, de n’importe quelle natu
142
propos de certains de nos « antifascistes ». Ceux
qui
jugent la tendance supposée, non le fait, se trouvent participer, d’o
143
de jeter la suspicion sur l’écrivain « objectif »
qui
leur rappelle les faits. Il me faut souligner, d’ailleurs, que le par
144
arme, vous me transformez en un fasciste honteux,
qui
sera certainement battu par le fasciste glorieux. ⁂ Je conçois très b
145
démasque sa vraie passion, sa passion inavouable,
qui
est identique à celle de son « adversaire ». Alors il dit que je suis
146
eu de choses près, avec la distinction entre ceux
qui
préconisent la bêtise comme méthode d’action, et ceux qui préfèrent l
147
onisent la bêtise comme méthode d’action, et ceux
qui
préfèrent l’intelligence. Ceci n’est pas une pointe, mais une conclus