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ustement, parce qu’on la regarde mal ?) On en est
venu
à assimiler violence à brutalité, à contrainte par la force matériell
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. Les époques de décadence sont celles où l’on en
vient
à redouter par-dessus tout ce malaise (à le qualifier de scandale) et
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ement condamnée par l’Évangile : « Je ne suis pas
venu
apporter la paix, mais le glaive. » Et le terme même de violence que
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que la vraie violence, inventive et imprévue, qui
viendrait
déranger ses constructions à la fois matérielles et abstraites, géomé
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laint : c’est la jambe qui ne va plus ! D’où cela
vient
-il ? — C’est depuis qu’ils m’ont volé ma chèvre, me répond-elle. Je l
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r au secours les troupes adverses et les prier de
venir
rétablir l’ordre. Il ne manque pas de fascistes inconscients pour con
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c le régime détesté. (Note de 1938 : cet étudiant
vient
d’entrer dans le Parti.) Parents et enfants. — Déjeuner chez un avo
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res. — Mais il n’est annoncé que pour 9 heures. —
Venez
voir ! Du seuil du café, l’on aperçoit toute la place de l’Opéra. Des
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et de SS y sont déjà rangés, immobiles. Le Führer
viendra
au balcon à 11 heures. D’ici là, ces hommes ne bougeront pas. Je me p
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plus en plus. Des formations du front de travail
viennent
occuper les couloirs, la pelle sur l’épaule. Les affiches annonçaient
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nts, et les autocars, et l’afflux des campagnards
venus
à pied, il y aura un million d’auditeurs immédiats. Quelques femmes s
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ment dite : contre-épreuve du diagnostic que l’on
vient
d’esquisser. IV. — Perspectives À Berlin, les milieux qui se di
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alitaire » ? C’est le refus de discuter. Et de là
vient
le terrorisme. La Terreur (jacobine, bolchéviste ou fasciste) a toujo