1 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
1 elle : elle est l’acte de l’homme qui rejette ses vieilles commodités, qui violente ses habitudes devenues tyrannies, et qui cré
2 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
2 cette pauvre région de l’Ouest, je rencontre une vieille paysanne. Elle se plaint : c’est la jambe qui ne va plus ! D’où cela
3 us vite. Le père rentre un peu plus tard. Le plus vieux dit : j’ai bien faim. Le plus jeune, il a toujours faim, alors c’est
4 elle soupe aux pommes de terre ! Oh ! dit le plus vieux , s’il y a une soupe aux pommes de terre, je vais en manger une grande
3 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Lectures dirigées dans le IIIe Reich (15 décembre 1937)
5 itaires ; un quart aux coutumes allemandes et aux vieux germains ; un quart à des sujets divers, littéraires, historiques, an
4 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
6 nser ensemble. En réalité, ce phénomène est aussi vieux que les Allemagnes ; il ne peut donc rien expliquer de ce qui s’y pas
7 eut rien faire. Et en tout cas, je suis déjà trop vieux . — Trop vieux, vous ? Quel âge avez-vous ? — 27 ans. Mais le Führer l
8 . Et en tout cas, je suis déjà trop vieux. — Trop vieux , vous ? Quel âge avez-vous ? — 27 ans. Mais le Führer l’a bien dit, l
9 firme solennellement. Mais lui aussi se sent trop vieux pour continuer la lutte, il a 50 ans. Se bagarrer encore ? Ils ne son
10 spartiate et goût du confort, jeunesse cynique et vieux bateaux réactionnaires, bourgeois inquiets, opposants complices. Et s
11 au nom du bon sens. Ils me rappellent cette bonne vieille femme qui apportait pieusement son petit fagot au bûcher du supplice