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ils prennent peu à peu l’habitude de délaisser l’
Église
et de nous abandonner, seuls avec ces bien-disposés et ces timorés do
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l’hitlérisme qui prétend faire main basse sur les
églises
et utiliser la religion aux fins de la renaissance germanique. Alors
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Albert Béguin, « Karl Barth et la situation de l’
Église
allemande », Revue d’Allemagne du 15 septembre 1933. a. Rougemont D
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revues, ils ne sont pas une secte ni une nouvelle
Église
. Ils travaillent par petites équipes. Ils voyagent beaucoup et vont o
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(15 décembre 1934)j Certes, la grandeur d’une
Église
et sa force ne résident pas dans son histoire, mais dans sa vérité, c
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pel constant du dogme suffirait, dans le cas de l’
Église
protestante, à rétablir la valeur relative des faits, valeur de témoi
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rapporter à l’évolution parallèle du dogme dans l’
Église
. De même, John Viénot laisse délibérément de côté tout ce que l’abbé
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lly ou d’un Duplessis-Mornay, représentants d’une
Église
légale et particulièrement fidèle au roi, ne pouvait nuire au prestig
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nt la pensée fait loi, une fois sanctionnée par l’
Église
. Ils sont avant tout des témoins. On ne saurait trop insister sur cet
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placent, remonter à cette origine permanente de l’
Église
qu’est la révélation évangélique. Le calvinisme ou le luthérisme, ce
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t la vocation que Jean Calvin reçut de réformer l’
Église
. Tout ceci est fort bien exposé par M. Albert-Marie Schmidt dans son
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ous voyons alors Calvin faire face d’une part à l’
Église
de Rome et c’est l’Épître à Sadolet ; d’autre part, aux premières dév
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sez inexplicable. Mais les pires adversaires de l’
Église
ne sont pas toujours au-dehors. Voici ceux qui préfèrent la paix selo
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i voudraient confondre la véritable grandeur de l’
Église
avec « une façon de royaume mondain ». À ceux-là, Calvin rappellera q
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chrétienne est celle du conflit dialectique : L’
Église
est ordonnée à cette condition de batailler continuellement sous la c
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n était chef de parti ; qui plus est, fondateur d’
Église
; donc doublement conscient de la responsabilité de ses paroles. Or,
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iateurs : le christianisme social, et l’union des
églises
non romaines, grande espérance œcuménique et internationale née dans
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urs, il ne s’adresse pas aux spécialistes, ni à l’
Église
, comme ce serait le devoir d’un traité dogmatique. Je m’adresse aux
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purement et simplement de critiquer, au sein de l’
Église
, la prédication de l’Église, pour la débarrasser des intrusions de ph
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itiquer, au sein de l’Église, la prédication de l’
Église
, pour la débarrasser des intrusions de philosophies passagères quelle
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on de Luther en France ? Qu’il rompu l’unité de l’
Église
. Mais dans quelles circonstances ? Poussé par quelles raisons ? Et po
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ste, il accorde à la femme une prééminence dont l’
Église
a bien senti le danger, puisqu’elle a développé le culte de Notre-Dam
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re les appétits de l’homme et les directives de l’
Église
. Comment a-t-il pu, en moins de vingt ans, dominer ainsi toute la lit
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es romaines, notions théologiques diffusées par l’
Église
du Moyen Âge, notions scientifiques et techniques aujourd’hui, à quoi