1 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
1 ils prennent peu à peu l’habitude de délaisser l’ Église et de nous abandonner, seuls avec ces bien-disposés et ces timorés do
2 l’hitlérisme qui prétend faire main basse sur les églises et utiliser la religion aux fins de la renaissance germanique. Alors
3 Albert Béguin, « Karl Barth et la situation de l’ Église allemande », Revue d’Allemagne du 15 septembre 1933. a. Rougemont D
2 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
4 revues, ils ne sont pas une secte ni une nouvelle Église . Ils travaillent par petites équipes. Ils voyagent beaucoup et vont o
3 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
5 (15 décembre 1934)j Certes, la grandeur d’une Église et sa force ne résident pas dans son histoire, mais dans sa vérité, c
6 pel constant du dogme suffirait, dans le cas de l’ Église protestante, à rétablir la valeur relative des faits, valeur de témoi
7 rapporter à l’évolution parallèle du dogme dans l’ Église . De même, John Viénot laisse délibérément de côté tout ce que l’abbé
8 lly ou d’un Duplessis-Mornay, représentants d’une Église légale et particulièrement fidèle au roi, ne pouvait nuire au prestig
4 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
9 nt la pensée fait loi, une fois sanctionnée par l’ Église . Ils sont avant tout des témoins. On ne saurait trop insister sur cet
10 placent, remonter à cette origine permanente de l’ Église qu’est la révélation évangélique. Le calvinisme ou le luthérisme, ce
11 t la vocation que Jean Calvin reçut de réformer l’ Église . Tout ceci est fort bien exposé par M. Albert-Marie Schmidt dans son
12 ous voyons alors Calvin faire face d’une part à l’ Église de Rome et c’est l’Épître à Sadolet ; d’autre part, aux premières dév
13 sez inexplicable. Mais les pires adversaires de l’ Église ne sont pas toujours au-dehors. Voici ceux qui préfèrent la paix selo
14 i voudraient confondre la véritable grandeur de l’ Église avec « une façon de royaume mondain ». À ceux-là, Calvin rappellera q
15 chrétienne est celle du conflit dialectique : L’ Église est ordonnée à cette condition de batailler continuellement sous la c
16 n était chef de parti ; qui plus est, fondateur d’ Église  ; donc doublement conscient de la responsabilité de ses paroles. Or,
5 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
17 iateurs : le christianisme social, et l’union des églises non romaines, grande espérance œcuménique et internationale née dans
18 urs, il ne s’adresse pas aux spécialistes, ni à l’ Église , comme ce serait le devoir d’un traité dogmatique. Je m’adresse aux
19 purement et simplement de critiquer, au sein de l’ Église , la prédication de l’Église, pour la débarrasser des intrusions de ph
20 itiquer, au sein de l’Église, la prédication de l’ Église , pour la débarrasser des intrusions de philosophies passagères quelle
6 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
21 on de Luther en France ? Qu’il rompu l’unité de l’ Église . Mais dans quelles circonstances ? Poussé par quelles raisons ? Et po
7 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
22 ste, il accorde à la femme une prééminence dont l’ Église a bien senti le danger, puisqu’elle a développé le culte de Notre-Dam
23 re les appétits de l’homme et les directives de l’ Église . Comment a-t-il pu, en moins de vingt ans, dominer ainsi toute la lit
8 1972, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). De l’unité de culture à l’union politique (17-23 avril 1972)
24 es romaines, notions théologiques diffusées par l’ Église du Moyen Âge, notions scientifiques et techniques aujourd’hui, à quoi