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e pour tâche de rendre acceptable le message de l’
Évangile
, d’en atténuer le scandale, d’intégrer largement les découvertes de l
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t un rappel violent à la nouveauté éternelle de l’
Évangile
; une remise en question radicale et intime de notre existence devant
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procher de l’homme Jésus tel que le décrivent les
évangiles
. Mais, dit M. Dominicé, deux obstacles très graves se dressaient auss
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table aux dix-neuf siècles qui nous séparent de l’
Évangile
. Du même coup, l’expérience religieuse, dialogue vivant avec le Chris
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ce religieuse, dialogue vivant avec le Christ des
évangiles
, se réduisait à une contemplation de sa vie. Dans cette difficulté, l
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el toute communion est impossible. Mystère dont l’
Évangile
répète plusieurs fois : « Heureux celui qui ne s’en scandalise pas. »
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its les plus frappants du Calvin commentateur des
évangiles
, tel que nous le restitue M. Dominicé, que cette insistance à mettre
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la misère de l’homme : elle lui est révélée par l’
Évangile
qui sauve. ⁂ La lecture du Traité n’est pas des plus aisées. Les term
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py end soi-disant édifiant s’il est certain que l’
Évangile
et ses promesses de salut sont seuls capables de donner à l’homme une
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moins des normes de pensée que des chemins vers l’
Évangile
. L’Évangile seul, éclairé par l’Esprit, reste la norme de toute théol
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rmes de pensée que des chemins vers l’Évangile. L’
Évangile
seul, éclairé par l’Esprit, reste la norme de toute théologie, fût-el
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e qu’ils portent aux scandales que pour nuire à l’
Évangile
et le diffamer comment que ce soit ». Il y a ceux pour lesquels les d
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sidérait comme ministre du Verbe divin. Prêcher l’
Évangile
, c’est à son sens engager le dialogue avec toutes les catégories d’ho
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nelles et temporelles ». C’est aussi ce que dit l’
Évangile
, où il n’est pas question de mysticisme. Ceci marqué, qui est plus qu
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: est-ce là l’œuvre du Dieu d’amour dont parle l’
Évangile
? « La fourmi périssant de mort violente sous le talon d’un chrétien
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sur une interprétation purement spiritualiste des
évangiles
. Ils font du Saint-Esprit la Mère de Dieu, le principe féminin de l’a