1 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
1 te descente aux enfers de notre âme fait songer à Dostoïevski . Dans La Répétition 4, on trouvera confondus le poète, le philosophe,
2 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
2 avoir abolies dans le monde. C’est l’irruption de Dostoïevski dans la bourgeoisie bien-pensante. Le pittoresque, le pathétique de l
3 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
3 s démontrer, ce qui n’est pas trop difficile, que Dostoïevski et Tolstoï sont plus protestants qu’on ne croit. Le reste est évident
4 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
4 Kierkegaard, Dostoïevski , Barth (23 février 1935)k Voici trois petits livres qui nous vienn
5 sur le secret dernier du message d’un romancier : Dostoïevski . Prenons-y garde, une nouvelle constellation monte au zénith de notre
6 n par l’Autre, n’est-ce point encore la vision de Dostoïevski  ? Ses héros ne viennent-ils pas à nous comme de grands questionneurs,
7 arle Édouard Thurneysen dans son essai intitulé : Dostoïevski ou les confins de l’homme. Le grand succès qu’a remporté ce petit liv
8 us nettement encore que Berdiaev dans L’Esprit de Dostoïevski , le professeur de Bâle a su l’envisager dans une perspective chrétien
9 aotique, morbide. Ce que nous avons cherché dans Dostoïevski , c’est la réponse à cette question : qu’est-ce qu’un homme ? Et cette
10 de sa vie, la question de Dieu. Tous les héros de Dostoïevski  apparaissent malades, comme blessés d’une atteinte profonde, portant
11 e qu’il fallait entendre par le protestantisme de Dostoïevski . Je ne saurais mieux répondre qu’en renvoyant au livre de M. Thurneys
12 que » de l’homme illustrée par les personnages de Dostoïevski , commentée sur le plan théologique par Karl Barth, et sur le plan d’u
13 h, traduit par P. Maury (Éditions « Je sers »). –  Dostoïevski ou les confins de l’homme, par Édouard Thurneysen, traduit par P. Mau
14 Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Kierkegaard, Dostoïevski , Barth », Les Nouvelles littéraires, Paris, 23 février 1935, p. 5.
5 1970, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les prophètes de la décadence (24 septembre 1970)
15 rs sur l’Europe : de Kierkegaard à Nietzsche et à Dostoïevski , de Tocqueville à Jacob Burckhardt et de Donoso Cortès à Georges Sore