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là un homme, une puissance. Le défi de Marx et de
Nietzsche
était relevé. Le tirage du Römerbrief alla au vingtième mille. Barth,
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sens moderne, et le contraire d’un esthète. Comme
Nietzsche
, avec lequel il a pas mal de traits communs, Kierkegaard nous laisse
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n simultanée de ses deux termes. Et l’on sait que
Nietzsche
lui-même aboutit à un paradoxe tout semblable à celui de Luther : la
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comme telle. Mais cette nécessité s’appelle pour
Nietzsche
le fatum, la fatalité sans visage du Retour éternel de toutes choses.
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t une idée un peu scolaire. Comment définirait-on
Nietzsche
ou Kierkegaard ? Si l’on veut absolument coller une étiquette, disons
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ondu de nos jours sur l’Europe : de Kierkegaard à
Nietzsche
et à Dostoïevski, de Tocqueville à Jacob Burckhardt et de Donoso Cort
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ionalismes et les racismes, dénoncés d’avance par
Nietzsche
, prolifèrent sur les ruines de l’Empire austro-hongrois. Et bientôt c
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oi ne me comporterais-je pas comme le surhomme de
Nietzsche
? Au nom de quoi venez-vous me dire qu’il faut être socialiste ou qu’