1
rendre où nous sommes. C’est le charme profond de
Selma Lagerlöf
qui revit dans ces peintures d’une Laponie lointaine et d’une humanit
3
er » qui terrorise les romanciers du xxe siècle.
Selma Lagerlöf
sait encore que l’origine de tout l’art du récit, c’est la légende. U
4
i « miracle », ici, c’est le parti romanesque que
Selma Lagerlöf
a su tirer du mythe. Et c’est aussi la profusion géniale des inventio
5
tte scène étonnante, l’un des secrets de l’art de
Selma Lagerlöf
. L’invention romanesque n’est ici que la « mise en pratique » d’une a
6
e des Löwensköld. Il faut avouer que le milieu où
Selma Lagerlöf
a grandi paraît favoriser plus qu’aucun autre le déploiement des pouv
7
Stock.) s. Rougemont Denis de, « [Compte rendu]
Selma Lagerlöf
, conteur de légende », Les Nouvelles littéraires, Paris, 3 juillet 19