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uarante-cinq volumes, sauf erreur — M. le pasteur
Wilfred Monod
nous a donné une œuvre aussi exceptionnelle par ses dimensions que pa
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ur païen. Qu’il suffise de rappeler que le nom de
Wilfred Monod
évoque immédiatement, dans l’esprit de tout protestant, deux grands m
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lecteur même incroyant ou ignorant de ces débats.
Wilfred Monod
nous apparaît ici comme une espèce de père Hugo du modernisme : même
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ne boutade qui porte évidemment sa marquep. 13.
Wilfred Monod
, Le Problème du Bien : essai de théodicée et journal d’un pasteur, 3
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Alcan. o. Rougemont Denis de, « [Compte rendu]
Wilfred Monod
, Le Problème du bien », Les Nouvelles littéraires, Paris, 12 septemb
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mbre 1936, p. 5. p. Une critique de l’ouvrage de
Wilfred Monod
paraît également dans Hic et Nunc de mai 1935, sous le titre : « So