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istence véritable que dans la parole que Dieu lui
adresse
et qui le meut. On a coutume de nommer la pensée de Barth une théolog
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os questions en questions que le texte sacré nous
adresse
. Tout au contraire du critique moderne, qui se pose en juge du texte,
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sur la détresse humaine devant Dieu, que le héros
adresse
à « son muet confident », l’auteur. Peut-être avons-nous ici les page
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singulièrement avec celui de Kierkegaard. Barth s’
adresse
à des auditeurs chrétiens, à des hommes qui se posent sérieusement la
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ix selon le monde à la vérité combattante : Je m’
adresse
à ceux qui abusent du nom de la chrétienté pour nourrir une paix fard
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t le ministère du pasteur. Par ailleurs, il ne s’
adresse
pas aux spécialistes, ni à l’Église, comme ce serait le devoir d’un t
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ce serait le devoir d’un traité dogmatique. Je m’
adresse
aux chrétiens, mais plus encore aux autres. Mon cœur est tourné vers