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tral de la réforme luthérienne, le Traité du serf
arbitre
14. Ne fût-ce que sur le plan de la culture générale, une telle publi
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age. Mais on ne saurait réduire le Traité du serf
arbitre
à la querelle avec Érasme, qui lui servit de prétexte et d’aiguillon,
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nullement exagéré de voir dans le Traité du serf
arbitre
une sorte de résumé — très peu systématique, et c’est heureux — des p
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. r. Il s’agit d’une recension de Traité du aerf
arbitre
de Martin Luther, traduit pour la première fois en français par Denis