1
non capax verbi Dei, l’homme pécheur n’est pas «
capable
» de la Parole de Dieu. Ainsi Barth rejoint Calvin, Luther, et au-del
2
s avons à peu près oublié : que l’homme n’est pas
capable
par lui-même de faire le bien, que la foi seule lui donne la promesse
3
e l’Évangile et ses promesses de salut sont seuls
capables
de donner à l’homme une vision réaliste de son sort terrestre, et le
4
pose chez les femmes, qui doivent être sans cesse
capables
de se renouveler, un ensemble de vertus solides et de qualités agréa
5
ent de considérer tous les hommes comme dignes et
capables
, un jour ou l’autre, de participer pleinement à l’effort civilisateur