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il s’avère qu’en tant qu’homme il ne le peut : «
Car
parler de Dieu voudrait dire, pour toute conscience sérieuse… parler
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udente, garantie de bonheur terrestre ou céleste.
Car
cette rencontre est mortelle à l’homme. Et c’est par là même qu’elle
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e problème : comment peut-on devenir chrétien ? »
Car
, enfin, l’on ne naît pas chrétien. Des quelques œuvres traduites jusq
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lisme absolu : mais ce péril est tout imaginaire.
Car
seule la connaissance du salut promis par le Christ peut nous amener
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s théologiques qu’implique l’attitude de Buchman.
Car
ce n’est pas assez que de se refuser à parler de théologie sous préte
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st un genre protestant. — Et Balzac ? dites-vous,
car
vous êtes Français. Eh bien, Balzac n’est pas tout le roman. Il n’est
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e devaient de finir aussi mal que possible ? Non,
car
le christianisme se passe dans cette vie ou bien n’est pas le christi
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ion. Un vrai roman chrétien est d’abord réaliste.
Car
il faut bien connaître la nature et ses abîmes, si l’on veut être à m
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nique et désespoir jamais complaisant à lui-même,
car
l’aveu même qu’on en fait est la preuve qu’on l’a traversé, et qu’on
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mères. Amères pour la critique surtout, je crois.
Car
Sara Alelia trouvera son public ; c’est un livre qui a le temps pour
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Les pasteurs ont coutume de l’offrir en exemple.
Car
enfin il n’a pas tué : Dieu l’arrête au dernier moment et lui montre
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possibilités, là où paraît la grâce, in extremis.
Car
c’est à chaque instant de la vie de la foi que se posent les question
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onner le débat, et le faire puissamment rebondir.
Car
personne n’a mieux incarné la volonté de pensée militante que ce peti
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eune fille des environs, mais cela ne compte pas,
car
il est entendu que la femme désignée par Dieu doit venir à sa rencont
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Littérature dont le succès rapide s’explique mal,
car
elle implique une subtilité, des raffinements, une absence de sensual
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onde entier ; c’était moins orgueilleux que naïf,
car
chacun ignorait que l’autre existât. L’agence Cook suffirait aujourd’
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i esclaves ni hommes libres, ni hommes ni femmes,
car
vous êtes tous fils de Dieu, vous êtes tous un en Jésus-Christ. »), c
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ient tout à fait, Valéry ne pourrait pas le dire,
car
il n’en saurait rien. » Et il propose de corriger comme suit le passa
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s gardien de but. C’était pour moi le poste idéal
car
le gardien de but n’intervient qu’aux moments de crises, au sommet de
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tre manuscrit, que j’attends d’un jour à l’autre,
car
je dois publier le plus tôt possible le manuscrit d’un essai d’une gr
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ela avec la plus grande précision dans le détail,
car
il n’y a là que la précision qui est intéressante ; en évitant tout c
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politique, en retour, est fomenté par la culture.
Car
ce sont bien des faits de culture : l’école, aux trois degrés, la pre