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librairie après la guerre. Aventure étonnante que
celle
de ce commentaire né de la détresse quotidienne d’un obscur pasteur d
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er qu’à ces « questions dernières » de notre vie,
celle
devant lesquelles nous fuyons toujours — et c’est là justement le pri
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ler de Dieu, son nom l’indique. De quel Dieu ? De
celui
que la Bible nomme l’Éternel, alors que nous sommes tout entiers temp
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alors que nous sommes tout entiers temporels. De
celui
qui transcende toutes nos idées de la transcendance. De celui qui vie
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anscende toutes nos idées de la transcendance. De
celui
qui vient à nous, mais auquel l’homme ne peut aller. Du totaliter ali
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vin, Luther, et au-delà, jusqu’à saint Paul, tous
ceux
qui ont su et connu ce que nous avons à peu près oublié : que l’homme
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ée. Il est aussi la plus éclatante réponse à tous
ceux
qui accusaient la pensée barthienne d’être purement négative et déses
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lectique de Barth à laquelle on reproche (comme à
ceux
de Port-Royal !) d’effrayer celui qui vient au Christ, peut seule rép
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eproche (comme à ceux de Port-Royal !) d’effrayer
celui
qui vient au Christ, peut seule répondre à l’angoisse humaine, tandis
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rquoi ne pas glisser, entre l’auteur d’Adolphe et
celui
des Discours religieux, par exemple, cet excellent Toepffer dont on p
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our de Pierre Girard, il faut avoir aimé Charlot,
celui
des Lumières de la Ville et du Cirque. Les héros de Pierre Girard son
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j’en doive un avoir un, je veux qu’il ne soit de
ceux
que j’aie fabriqués moi-même. » Ainsi s’exprime Bruno Pomposo, dont C
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ccomplie par toute une génération de protestants,
celle
qui commence à s’exprimer dans des revues comme Foi et Vie , Le Sem
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ouvait-elle avoir lieu ? Deux voies s’offraient :
celle
de l’histoire et celle de l’expérience religieuse. Prendre la voie de
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? Deux voies s’offraient : celle de l’histoire et
celle
de l’expérience religieuse. Prendre la voie de l’histoire, c’était d’
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dont l’Évangile répète plusieurs fois : « Heureux
celui
qui ne s’en scandalise pas. » ⁂ Retrouver cette réalité, c’était du m
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ncipes exégétiques. Certes, l’auteur n’est pas de
ceux
qui conçoivent le commentaire comme une effervescence lyrique autour
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l’ensemble des écrits de Kierkegaard, et qui est
celle
du Point de vue explicatif. Le livre de Carl Koch est la démonstratio
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p souvent, c’est qu’ils s’efforcent d’endoctriner
ceux
qu’ils rencontrent. Le « partage » préconisé par Buchman ne ressemble
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ger assez grave. Il y a là un risque indéniable :
celui
de naturaliser la foi, de s’attacher aux résultats visibles et frappa
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es où nous sommes pris, le seul message utile est
celui
qui nous révèle une tâche proche, des hommes pour lesquels nous puiss
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cide qu’il n’aura pas d’habitation plus vaste que
celle
du plus pauvre habitant du quartier, et non content d’y vivre dans un
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oses, un mystère inquiétant se révèle aux yeux de
celui
qui sait voir, parce que, mieux que d’autres, il sait aimer. Et sur c
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e voit guère en quoi son Histoire se distingue de
celle
qu’eût pu écrire un savant laïque épris de tolérance, teinté de renan
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, la substance historique qu’il nous offre est de
celles
qui n’ont pas besoin de condiments pour produire leur brûlante saveur
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cette guerre faite à la foi évangélique, ait été
celle
des Espagnols et des Romains. Les catholiques patriotes savaient bien
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qu’à violer les sépultures des religionnaires) :
Ceux
que vous déterrez, dit la requête, ne sont point étrangers. Ce sont F
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he, et qui rendra, selon sa justice, oppression à
ceux
qui nous oppressent, et relâche à nous qui sommes oppressés. (Qui do
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ardienne. La question que pose cette œuvre, c’est
celle
de la foi, dans l’absolu. Ce n’est pas encore la question que Kierkeg
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nable dont le titre contraste singulièrement avec
celui
de Kierkegaard. Barth s’adresse à des auditeurs chrétiens, à des homm
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, en effet, que le « chevalier de la foi », sinon
celui
qui vit pleinement cette vie, toutefois « en vertu de l’absurde », c’
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s trop maigres ou trop gras ? Grave question pour
ceux
qui jugent des vérités les plus profondes de la foi selon le poids de
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gile et le diffamer comment que ce soit ». Il y a
ceux
pour lesquels les dogmes sont autant d’occasions de chopper : Quant
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de l’Église ne sont pas toujours au-dehors. Voici
ceux
qui préfèrent la paix selon le monde à la vérité combattante : Je m’
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e monde à la vérité combattante : Je m’adresse à
ceux
qui abusent du nom de la chrétienté pour nourrir une paix fardée ! V
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chrétienté pour nourrir une paix fardée ! Voici
ceux
qui voudraient confondre la véritable grandeur de l’Église avec « une
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vin rappellera que notre condition chrétienne est
celle
du conflit dialectique : L’Église est ordonnée à cette condition de
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iner en ce monde. Voici enfin les « libertins »,
ceux
que nous appelons libéraux qui « gazouillent » à tort et à travers et
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et se répandent en orgueilleuses « baveries », et
ceux
« qui se ruent contre Dieu d’une impétuosité enragée à la façon des f
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monumentale. Là encore, la leçon de Calvin serait
celle
d’un retour aux origines. Voilà la seule révolution qui compte pour l
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e confondirent durant tout le siècle dernier avec
ceux
du protestantisme français. Maurras, lorsqu’il voulut s’en prendre au
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ter une troisième, qui les commande directement :
celle
d’un certain humanisme chrétien. L’ouvrage littéralement énorme (hors
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ion ecclésiastique plus précise et restreinte que
celle
que je lui donne ici — M. Monod rejoint souvent des conclusions théol
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ous place au cœur même du grand débat occidental,
celui
de la pensée « pure » et de la pensée « engagée ». Elle met entre nos
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tateur détaché. Le point de vue du « clerc pur »,
celui
d’Érasme, nous est suffisamment connu. Qu’on se reporte en particulie
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chrétienne, dans cet ouvrage, qui est avant tout
celui
d’un grand théologien ? Une verdeur de polémique qui peut flatter en
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e lui-même aboutit à un paradoxe tout semblable à
celui
de Luther : la liberté est à ses yeux dans la connaissance virile d’u
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e sens profond de l’œuvre entière est formulé : «
Celui
qui veut être un disciple du Christ sans avoir l’amour des hommes est
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dans la mesure où les religions obscures dominent
ceux
qui n’ont pas la foi. Seule une prière désespérée, de pur amour, romp
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uvant que nous donne cette œuvre admirable, c’est
celui
du travail de la foi dans la réalité totale d’un peuple, qu’elle trou
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un vocabulaire qui resteront au cours des siècles
ceux
des grands mystiques. Ainsi tous les troubadours étaient des cathares
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erver de plus près. » J’acceptai à une condition,
celle
d’écrire en rentrant exactement ce que je pensais du nazisme. J’en ai
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constances qui enverraient les œuvres de Keats et
celles
de Baudelaire rejoindre les œuvres de Ménandre ne sont plus du tout i
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e sais peu de phrases plus fréquemment citées que
celle
qui annonce en somme que toutes les civilisations étant mortelles, la
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ement sur l’exemple le mieux connu des Européens,
celui
de la chute de Rome, qui est censée avoir entraîné la disparition de
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ent le Moyen Âge ne furent pas moins violents que
ceux
que nous vivons. L’unité de notre culture et de la civilisation créée
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st. »), cette conception devait seule permettre à
ceux
qu’elle formerait intimement de considérer tous les hommes comme dign
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constances qui enverraient les œuvres de Keats et
celles
de Baudelaire rejoindre les œuvres de Ménandre ne sont plus du tout i
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paru sans nous laisser d’autre héritage actif que
celui
de leurs œuvres d’art : ainsi celle des Aurignaciens, ou plus près de
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age actif que celui de leurs œuvres d’art : ainsi
celle
des Aurignaciens, ou plus près de nous celle des Hittites, plus près
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insi celle des Aurignaciens, ou plus près de nous
celle
des Hittites, plus près encore celles des Mayas et des Aztèques. Mais
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près de nous celle des Hittites, plus près encore
celles
des Mayas et des Aztèques. Mais les civilisations anciennes de l’Égyp
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les peuples du tiers-monde à peine moins que pour
ceux
de l’OTAN, la dignité de la personne humaine et les fondements de tou
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Nous connaissons les circonstances de la chute de
celles
qui nous ont précédées : c’était parfois une catastrophe naturelle, c
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-t-on, le mot « nation » désignait, dès ce temps,
ceux
qui parlaient même langue ? Oui, mais il n’était pas question de les
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trasbourg, que ces « précieuses diversités » sont
celles
de nos nations ? Je propose là-dessus deux observations faciles à vér
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ue les hippies d’un pays s’accorderont mieux avec
ceux
de n’importe où qu’avec les conformistes de leur propre nation, etc.
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Weimar ou Dresde dans les Allemagnes romantiques,
celles
de Hegel ou de Schelling, de Hölderlin ou de Humboldt, au moment même