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n sait atteindre au cœur d’une œuvre entre toutes
complexe
. C’est que, plus nettement encore que Berdiaev dans L’Esprit de Dosto
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croire, d’ailleurs, que ces héros sont bien assez
complexes
pour notre goût moderne ! Et que l’« analyse des motifs » est ici d’u
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cela semble disposé pour que se nouent les drames
complexes
dont s’est nourri depuis cent ans le grand roman occidental : vies in
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lisations qui auraient existé jusqu’ici, les lois
complexes
, mais constantes, de leur genèse, de leur croissance et de leur disso
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pourquoi elle s’est trouvé la seule qui fût assez
complexe
et multiforme pour pouvoir, sinon satisfaire, du moins séduire tous l
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tionalismes qui en vivent. On ne saurait imaginer
complexe
de forces spirituelles, morales et matérielles plus spécifiquement eu