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de ne pas mourir, selon la parole profondément «
dialectique
» de Thérèse d’Avila. Qu’est-ce donc en définitive que le point de vu
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de Barth une théologie de la crise, une théologie
dialectique
. Elle est surtout et avant tout cela une théologie de la parole de Di
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ce propos dans un récent article1 — la théologie
dialectique
de Barth à laquelle on reproche (comme à ceux de Port-Royal !) d’effr
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on retrouve la véritable et profonde acuité d’une
dialectique
à résoudre en actes. C’est l’un des traits les plus frappants du Calv
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de force d’exposer clairement, sans la trahir, la
dialectique
« abyssale » de cette œuvre. Personne n’a fait plus que Jean Wahl pou
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voyant au livre de M. Thurneysen. La conception «
dialectique
» de l’homme illustrée par les personnages de Dostoïevski, commentée
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e notre condition chrétienne est celle du conflit
dialectique
: L’Église est ordonnée à cette condition de batailler continuelleme
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’une certitude pesante, vraiment « grave », d’une
dialectique
sobre et têtue qui va droit au point décisif, envisage honnêtement le
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suprême de l’Histoire. Mais si l’on appliquait sa
dialectique
aux civilisations, on en venait à penser que chacune d’elles devait f