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le et religieuse dont l’Occident ne connaît pas d’
exemple
. Un récit autobiographique et romancé de sa jeunesse a paru en frança
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? Elle ne fait pas une théorie, elle répond par l’
exemple
d’Abraham. Et c’est à la méditation de cet exemple que Kierkegaard va
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xemple d’Abraham. Et c’est à la méditation de cet
exemple
que Kierkegaard va consacrer son livre. Abraham, le « père des croyan
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pourtant. Les pasteurs ont coutume de l’offrir en
exemple
. Car enfin il n’a pas tué : Dieu l’arrête au dernier moment et lui mo
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et le comique c’est qu’on persiste à l’offrir en
exemple
aux chrétiens ! Mais la grandeur d’Abraham, sa signification démesuré
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lexion philosophique que Kierkegaard enchaîne à l’
exemple
d’Abraham est admirablement analysée dans l’introduction de Jean Wahl
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es meilleures armes. Au sujet de ce style, dont l’
exemple
n’est pas l’un des plus négligeables que comportent les Trois traités
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ourd’hui « disparues », et particulièrement sur l’
exemple
le mieux connu des Européens, celui de la chute de Rome, qui est cens
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romaine dans la partie occidentale de l’Empire. L’
exemple
est-il valable pour l’Europe ? La civilisation européenne est-elle un
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destin peut-il être prédit par extrapolation des
exemples
antiques ? Il se pourrait, bien au contraire, que notre culture prése
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is l’Asie du Sud, sous-développée, courir après l’
exemple
de la Chine, qui essaie d’imiter la Russie, laquelle veut rejoindre l